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Les essais motos :
Photo : Götz Göppert
Photo : Götz Göppert
Photo : Götz Göppert
Le collecteur est toujours aussi élégant. Il laisse le filtre à huile complètement accessible. Photo : Götz Göppert
Kawasaki a travaillé le look de la culasse du Z 800. Photo : Götz Göppert
La finition est soignée, avec notamment ces cale-pieds noirs usinés. Photo : Götz Göppert
Photo : Götz Göppert
Le feu forme un double Z. Sympa ! Photo : Götz Göppert
Le tableau de bord numérique possède tout ce qu'il faut. Heure, température moteur, totalisateur kilométrique, deux partiels, jauge à essence, consommation instantanée et moyenne, autonomie et même un voyant Eco dont on se demande bien à quoi il sert sur cette boule de nerfs... Photo : Götz Göppert
Le réservoir en métal est cerné de plastique. Pas l'idéal pour une sacoche magnétique. Photo : Götz Göppert
La fourche est réglable en tous sens. A gauche (ici), c'est la précharge, à droite, la détente. Photo : Götz Göppert
Le silencieux Akrapovič est en option, à 717 €. Photo : Götz Göppert
Le 'masque' typique des Z depuis 2003 évolue encore un peu avec le 800, mais conserve le même regard. Photo : Götz Göppert
Le Z 800 n'est pas un roadster particulièrement étroit. Le réservoir notamment est assez large. Photo : Götz Göppert
Les carters et le té de fourche supérieur reprennent cette forme pentagonale. Une nouvelle signature chez Kawa ? Photo : Götz Göppert
Le bras oscillant est enjolivé par des réglages de tension de chaîne stylés. Photo : Götz Göppert
Le levier de frein est réglable en écartement. Photo : Götz Göppert
Le levier d'embrayage, lui, ne l'est pas... Photo : Götz Göppert
Photo : Götz Göppert
Les selles sont assez glissantes, surtout la passager dont le revêtement fait penser à du Téflon. Pas cool pour le passager occasionnel... Photo : Götz Göppert
Photo : Götz Göppert
Photo : Götz Göppert
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Photo : Simon Palatchi
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Photo : Simon Palatchi
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Le V-twin baptisé Freedom (Liberté) ne révèle son caractère qu'avec l'option Stage 1, hélas non homologuée. Photo : Simon Palatchi
106 cubic inches, soit 1 731 cm3 gorgés de couple. Admirez au passage la finition du bloc moteur. Photo : Simon Palatchi
Les selles conducteur et passager sont un modèle de confort. Larges, moelleuses, elles invitent au voyage. Photo : Simon Palatchi
Le train avant ne souffre aucun reproche. Le feeling des freins est un peu moyen, mais ils ont tout de même plus de 400 kg à arrêter ! Photo : Simon Palatchi
Le commodo droit intègre les commandes du régulateur de vitesse. Photo : Simon Palatchi
Le commodo gauche intègre les commandes de radio. Le câblage est perfectible... Photo : Simon Palatchi
Le tableau de bord est complet, mais son rétroéclairage bleu est trop puissant de nuit. Photo : Simon Palatchi
Les feux à LED donnent toute sa personnalité à la Cross Country : c'est Las Vegas la nuit ! Photo : Simon Palatchi
Deux déflecteurs sont situés sur le 'nez de cochon'. Photo : Simon Palatchi
Réglables, ils permettent de ramener un peu d'air sur le torse en cas de fortes chaleur. Photo : Simon Palatchi
Deux volets sont situés dans le tablier pour moduler l'air arrivant sur les jambes. Fermés ils protègent bien des intempéries. Photo : Simon Palatchi
Ouverts ils rafraîchissent les guibolles ! Photo : Simon Palatchi
Les commandes conducteur sont réglables sur trois positions, l'idéal pour se mettre à l'aise au guidon. Photo : Simon Palatchi
Comme les repose-pieds avant, ceux de l'arrière sont réglables en hauteur sur trois position. Photo : Simon Palatchi
La peinture n'est pas très épaisse et se raye aisément. Dommage... Photo : Simon Palatchi
Les valises latérales d'une contenance totale de 80 l ne peuvent accueillir de casque : leur ouverture par le dessus est trop étroite. Photo : Simon Palatchi
Voici un amas de fils qui, même si peu visible, n'a pas lieu d'être sur une moto à près de 22 000 € ! Photo : Simon Palatchi
Le tablier possède deux petits coffres assez vastes mais non verrouillables. Photo : Simon Palatchi
Le coffre gauche abrite quant à lui la prise pour MP3 et une prise 12 V. Photo : Simon Palatchi
Les commandes des selles (sièges, canapés ?) chauffantes sont situées sur le côté gauche. Coincées par la valise, elles sont peu accessibles, avec de gros gants hiver par exemple. Photo : Simon Palatchi
Si les valises ne peuvent accueillir de casque, le vaste (70 l) top-case sans chargera sans souci. Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
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Photo : Götz Göppert
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Le tableau de bord du Tmax affiche complet. Il est de plus parfaitement lisible, de jour comme de nuit. Photo : Götz Göppert
L'éclairage des compteurs passe du rouge en temps normal au blanc sur ce Blackmax. Photo : Götz Göppert
Autre spécificité du Blackmax, les embouts de guidon de couleur or. Photo : Götz Göppert
Photo : Götz Göppert
Le coffre, éclairé, n'est pas très grand. Seul un jet peut y prendre place. Photo : Götz Göppert
La trappe à essence située devant la selle est assez cheap. Elle semble moins robuste que le reste du Tmax. Photo : Götz Göppert
Le bac de droite dans le tablier est assez profond et ferme à clef. Photo : Götz Göppert
Le bac de gauche, lui, est ridiculement petit et ne se verrouille pas. Notez le levier de frein de parking, sous le commodo. Photo : Götz Göppert
Ne l'appelez pas Tmax ! La plaque sur le guidon change d'appellation. Photo : Götz Göppert
Les logos couleur or sont également l'apanage du Blackmax. Photo : Götz Göppert
L'éclairage est puissant, même si cela importe peu dans les zones urbaines très éclairées. Photo : Götz Göppert
La selle du Blackmax possède un revêtement spécifique. Photo : Götz Göppert
La protection offerte par le Tmax est surprenante pour un scooter à tendance sportive aussi marquée... Photo : Götz Göppert
Les rétroviseurs sont efficaces, mais ils sont placés exactement à la hauteur de ceux d'une voiture. Pas top entre les files ! Photo : Götz Göppert
Le train avant est bluffant, malgré les petites roues de 15 pouces. Le freinage est lui aussi au top niveau. Photo : Götz Göppert
Le frein de parking est assez moche. Il aurait pu être plus discret... Photo : Götz Göppert
La sonorité qui s'échappe du volumineux silencieux est toujours aussi caractéristique. C'est l'une des signatures du Tmax. Photo : Götz Göppert
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Photo : Simon Palatchi
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Face à la nouvelle venue, la CB 500 a peur pour sa retraite ! Photo : Simon Palatchi
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Bien que dix chevaux moins puissant que son aîné, le twin du CB 500 F autorise quelques délires. Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
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La veilleuse vous rappelle quelque chose ? C'est celle du bas de l'optique du Hornet... Photo : Simon Palatchi
La place passager est accueillante et les larges poignées sont très bien disposées. Photo : Simon Palatchi
Le moteur est sobre et bien mis en valeur. Notez les deux pastilles chromées rappelant la présence du double arbre à cames. Photo : Simon Palatchi
Les écopes (un peu plastique mais bien assemblées) protègent un peu les genoux du pilote. Photo : Simon Palatchi
Honda a évité l'écueil d'un silencieux moche... Celui-ci est sobre et plutôt élégant, mais trop discret ! Photo : Simon Palatchi
La finition du poste de conduite est à l'image du reste de la moto. Tout est bien assemblé et soigné. Photo : Simon Palatchi
Le compteur (peu lisible en plein soleil), comporte toute les infos nécessaires. Il manque juste la température moteur... Photo : Simon Palatchi
Le freinage ABS de série est un vrai plus, surtout à ce tarif ! Photo : Simon Palatchi
On note la présence de warnings. Là encore, bel effort de la part de Honda à ce tarif. Photo : Simon Palatchi
Un petit coffre et une trousse à outils logent sous la selle passager. Photo : Simon Palatchi
Le feu est élégant, rappelant là encore le Hornet 600. Photo : Simon Palatchi
Vous le reconnaissez ? Ce bouchon équipait les CBR 1000 F au début des années 90. Vous avez dit récup' ? Photo : Simon Palatchi
Le bouchon n'est pas monté sur charnière. Dommage... Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
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Le twin du CB 500 est bien plus nerveux que son homologue moderne. Photo : Simon Palatchi
Le freinage Brembo des PC32 offre un bon feeling et du mordant. Mais les suspensions sont trop souples. Photo : Simon Palatchi
Ohh des aiguilles... Finalement, c'était lisible, même en plein soleil ! Photo : Simon Palatchi
Les amortisseurs sont réglables en précharge, mais de qualité médiocre. Photo : Simon Palatchi
Autre détail appartenant au passé : le robinet d'essence. Quel bonheur de passer en réserve pendant un dépassement... Photo : Simon Palatchi
Ce postérieur est encore fréquemment vu de nos jours. C'est dire le succès de cette moto, vendue de 1993 à 2002 ! Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
La CB 500 d'antan avait un bouchon de réservoir qui, lui, était sur charnière. Photo : Simon Palatchi
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Sous la selle, un grand bac permet de fourrer tout le nécessaire (U, pantalon de pluie, bombe de graisse, etc.). Photo : Simon Palatchi
Le phare rond et le chrome, accessoires aujourd'hui dévolus aux seuls customs, et encore... Photo : Simon Palatchi
La Trophy n'est pas vendue avec chauffeur et pour cause : on est aussi bien à son guidon qu'en passager ! Photo : Götz Göppert
Photo : Götz Göppert
Photo : Götz Göppert
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En ville, la maniabilité de la Trophy ne souffre aucune critique. Seule sa hauteur de selle peut gêner, à l'arrêt et en manœuvres principalement. Photo : Götz Göppert
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La protection offerte est telle que l'on peut sans problème bouquiner et dormir à l'arrière... Photo : Götz Göppert
... tant que le conducteur n'a pas des velléités de pilotage sportif ! Photo : Götz Göppert
Trophy SE : la version la mieux équipée et la plus chère du vaisseau anglais. Photo : Götz Göppert
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Les Pirelli Angel ST qui équipaient notre monture d'essai se sont révélé à leur aise sur le sec comme sur le mouillé. Photo : Götz Göppert
Ça c'est du commodo ! Les commandes de la radio sont inaccessibles depuis la poignée. Photo : Götz Göppert
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Le tableau de bord est complet, mais assez peu ergonomique. Photo : Götz Göppert
Les valises latérales sont tout à fait capables de contenir un casque, même volumineux. Photo : Götz Göppert
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Le commodo droit regroupe les commandes de mise à feu du trois-pattes et du régulateur de vitesse. Photo : Götz Göppert
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Deux zones caoutchoutées, au niveau des rétroviseurs et sous la prise d'air, sont là pour atténuer les dégâts en cas de chute. Pas sur que cela suffise pour les 300 kilos de la bête... Photo : Götz Göppert
Le volumineux top-case optionnel n'est pas si profond, mais il peut sans problème contenir deux casques (là ça ferme encore, juré). Photo : Götz Göppert
Le vide poche se verrouille automatiquement contact coupé. Il contient une prise 12 V et une prise USB pour la musique. Photo : Götz Göppert
Le tableau de bord regorge d'infos : trips (2), rapport engagé, heure, odomètre, consommation moyenne et instantanée pour chaque trip, pression des pneus, température extérieure, moteur, jauge à essence... Une vraie bagnole ! Mais pourquoi diantre avoir mis le bouton de warnings à cet endroit ? Photo : Götz Göppert
La suspension est réglable sur trois modes (Confort, Normal, Sport) et sur trois types de charges (Solo, Duo, Duo plus bagages). L'antipatinage (TCS) est déconnectable. Photo : Götz Göppert
La radio est réglable en tous sens (aigus, graves, balance, etc.) mais la manipulation du commodo requiert un temps d'adaptation. Photo : Götz Göppert
Bulle au plus haut, la protection du buste est parfaite. Photo : Götz Göppert
Bulle en position basse. Photo : Götz Göppert
La selle conducteur est chauffante sur deux positions... Photo : Götz Göppert
... tout comme la selle passager. Le réglage le plus fort est presque trop fort. Photo : Götz Göppert
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Le feu est à leds. La serrure permet de débloquer les selles pour le réglage en hauteur de ces dernières. Photo : Götz Göppert
La place dévolue au passager est accueillante, avec des poignées bien placées. Photo : Götz Göppert
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Déshabillée, la Trophy est moins élégante. Surtout côté échappement, ce dernier étant très volumineux. Photo : Götz Göppert
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Le cardan se fait totalement oublier. La patte que l'on distingue sert à équilibrer les valises quand la moto roule, pour éviter les louvoiements. Photo : Götz Göppert
Le passager a également droit à une prise 12V. Photo : Götz Göppert
Le phare offre suffisamment de puissance pour envisager sans souci des trajets nocturnes. Photo : Götz Göppert
Le freinage se montre efficace même si l'attaque aurait pu être plus franche. Rien à redire concernant l'ABS. Photo : Götz Göppert
Les suspension électriques qui équipent la SE gomment véritablement la route. Un régal... Photo : Götz Göppert
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La fourche est désormais une Showa BPF (Big Piston Fork) à réglages séparés. Photo : Götz Göppert
Le commodo gauche gère les cartographies moteur et l'antipatinage KTRC. Photo : Götz Göppert
La bulle aurait pu être un peu plus haute et large. Notez le contacteur à clef codée. Photo : Götz Göppert
C'est racing, certes, mais un peu d'habillage aurait soigné cette partie de la moto... Photo : Götz Göppert
La boîte est précise et ferme. Un must ! Photo : Götz Göppert
Le réglage du ralenti est accessible, mais tout cela ne respire pas la finition. Dommage... Photo : Götz Göppert
L'échappement est assez peu élégant... Photo : Götz Göppert
Mais il se montre discret en ville et rageur à souhait dans les tours. Photo : Götz Göppert
Vous le reconnaissez ? Normal, c'est celui du Z 800. Photo : Götz Göppert
Le tableau de bord est complet : vitesse, compte-tours, rapport engagé, modes de cartographie moteur et KTRC, voyant Eco (?!), chrono, heure, odomètre, deux trips, conso moyenne, etc. Mais pas de jauge à essence. Photo : Götz Göppert
Le freinage est costaud et endurant. Le feeling aurait pu être meilleur mais est déjà très satisfaisant. Photo : Götz Göppert
Le frein arrière répond présent, pour une fois. La plupart des sportives modernes ont hélas trop souvent tendance à se concentrer sur l'avant. Photo : Götz Göppert
Le levier de frein est réglable, pas celui d'embrayage. Photo : Götz Göppert
Aucun superflu au commodo droit. Coupe-contact, démarreur et basta ! Photo : Götz Göppert
L'ouverture de la selle passager est située sous le passage de roue. Mais n'espérez pas trouver un coffre ! Photo : Götz Göppert
Photo : Götz Göppert
Photo : Simon Palatchi
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Côté droit, le monobras arbore la courroie avec toutes ses protections destinées à empêcher les gravillons de venir abîmer cette dernière. Photo : Simon Palatchi
La bulle n'est hélas pas réglable, mais protège bien le buste. Pour la tête en revanche... Photo : Simon Palatchi
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Caractéristique de toutes les séries F, le réservoir sous la selle avec bouchon sur le flanc droit. Photo : Simon Palatchi
Le train avant est un peu souple. Le freinage Brembo est brutal mais pas surpuissant. Son attaque déroute et déclenche parfois l'ABS de façon intrusive. Photo : Simon Palatchi
Les compteurs analogiques sont lisibles, et avec l'ordinateur de bord en option, c'est complet : deux trips, consommation instantanée et moyenne, température extérieure, rapport engagé, chronomètre, pression des pneus (option RDC), horloge, jauge à essence, température moteur... Photo : Simon Palatchi
Pour un peu plus de 10 000 €, la finition est globalement le point fort de la BMW, même si certains détails fâchent. Photo : Simon Palatchi
Le commodo gauche accueille les commandes de l'ASC (option), de l'ESA (option) et de l'ordinateur de bord (option). Sans tous ces équipements, il doit être bien vide... Photo : Simon Palatchi
La courroie et discrète et surtout propre ! Fini la jante maculée de graisse pour chaîne. Photo : Simon Palatchi
Le phare asymétrique est assez puissant pour envisager des trajets nocturnes (sans toutefois égaler les références de la catégorie GT). Photo : Simon Palatchi
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jolis et efficaces les clignos à leds, mais... en option ! Photo : Simon Palatchi
La large platine de série accueillera sans problème un gros sac ou un top-case. Photo : Simon Palatchi
Cette molette sert à régler l'amortisseur en précharge. Une action réalisable au guidon et en roulant lorsque l'ESA optionnel est installé. Photo : Simon Palatchi
Il est beau le silencieux inox ! Sa sonorité est assez rauque. Photo : Simon Palatchi
Le collecteur et la gamelle, sont moins sexy... Pas beau et très visible ! Photo : Simon Palatchi
Le passage haut du silencieux gène les valises, mais dégage la superbe jante. Photo : Simon Palatchi
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La serrure de selle est joliment dissimulée dans ce cache plastique. Sous la selle, on trouve la batterie, une petite trousse à outils et un petit emplacement pour un bloque-disque ou un petit U. Photo : Simon Palatchi
Le tableau de bord est identique en forme à celui des NC 700 et CB 500. Il offre un totaliseur, deux trips, une jauge à essence et l'heure, en plus du compte-tours et de la vitesse. Sobre, lisible et plutôt complet. Photo : Simon Palatchi
La finition du poste de pilotage est à l'image du reste de la moto, très bonne. Photo : Simon Palatchi
Ce gros phare globuleux donne une bonne bouille au MSX 125. Les clignotants font aussi office de feux de position. Photo : Simon Palatchi
A l'arrière, le feu est à LED. Là encore, la finition est soignée. Photo : Simon Palatchi
Le silencieux n'est pas laid et laisse s'échapper une sonorité discrète et assez grave. Photo : Simon Palatchi
Le freinage signé Nissin est au-dessus de tout soupçon pour une machine de ce gabarit. Photo : Simon Palatchi
Un mono refroidi par air en position horizontale avec une boîte quatre vitesses ? Le Dax bien sûr ! Et le MSX 125, également... Photo : Simon Palatchi
Le moteur est superbement fini, avec une couche de peinture epoxy noire très épaisse. Photo : Simon Palatchi
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La fourche encaisse bien les dos-d'âne mais peut venir talonner sur des irrégularités abordées un peu vite. Photo : Simon Palatchi
L'amortisseur remplit parfaitement sa tâche, en solo comme en duo. Photo : Simon Palatchi
Le secret d'un appétit maîtrisé ! L'injection PGM-FI permet au MSX de se montrer particulièrement frugal. Photo : Simon Palatchi
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Même sans les valises, la ligne reste harmonieuse. Notez les trois points d'ancrages des valises. Photo : BL
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Le dosseret et la selle offrent un confort parfait. Photo : BL
Le grand pare-brise protège très efficacement le buste et la tête. Photo : BL
Le cœur du monstre : le twin Testastretta 11° partagé avec les Multistrada. Photo : BL
La magnifique roue arrière est superbement mise en valeur par les échappements courts. Photo : BL
Strada : six lettres qui changent tout ! Photo : BL
Le freinage allie puissance et efficacité. Limite brutal parfois, mais merci Brembo ! Photo : BL
Le commodo gauche permet la navigation dans les menus. Le bouton de clignotant servant également au réglage du DTC n'est pas très ergonomique. Photo : BL
Le commodo droit intègre le démarreur qui sert aussi de verrouillage de direction et de commande de poignées chauffantes ! Photo : BL
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Les deux écrans des compteurs apportent une foule d'informations. En haut on retrouve la vitesse, le régime moteur, l'heure, la température moteur et les voyants. En bas, on retrouve l'indicateur de rapport engagé, le rappel des modes de cartographie, les trips, les données de consommation et autres infos utiles... Photo : BL
Les valises un peu proéminentes peuvent gêner le passager à la montée ou descente de la moto, mais pas une fois assis. Photo : BL
Le pilote est bien calé par l'assise creusée, le passager, par le dosseret. C'est bon on peut ouvrir en grand ! Photo : BL
L'amortisseur se règle aisément en précharge sur le côté gauche, via cette molette. Photo : BL
Le bras oscillant est costaud. Photo : BL
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L'arrière change radicalement, avec la disparition des deux feux verticaux, signature des Diavel standards. Notez la prise 12V, à gauche. Photo : BL
Le feu proviendrait-il d'une Desmosedici RR. Si le support diffère, la forme est identique. Photo : BL
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Le sabot habille le bas du Diavel et protège le radiateur d'huile. Photo : BL
Délicate attention que ces valves coudées. Un exemple de plus de la finition du Diavel Strada. Photo : BL
Le phare ne change pas et intègre toujours la barette centrale de LED. Photo : BL
Comment contrer les accessoiristes ? En proposant un rétroviseur stylé... Photo : BL
... et efficace ! Photo : BL
Une petite prise 12V prend place sous le guidon. Photo : BL
La fourche se règle facilement avec des molettes en haut des tubes. Photo : BL
Ducati a poussé loin la finition, à l'image de cette pédale de frein caoutchoutée. Photo : BL
Photo : Bertrand Dussart
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Les soudures du cadre sont masquées. Joli ! Photo : Bertrand Dussart
Dommage que ledit cache ait des velléités d'indépendance après à peine plus de 5 000 km... Photo : Bertrand Dussart
Le commodo gauche est chargé. En plus des commandes habituelles (phares, clignotants, klaxon), on trouve le très fourni satellite de radio. On s'y perd le pouce... Photo : Bertrand Dussart
Par comparaison, le commodo droit est carrément désert. Seuls les warnings, le démarreur et le coupe-contact y prennent place. Photo : Bertrand Dussart
Le vide-poches central verrouille via la serrure sur le flanc droit. Dommage que son couvercle ne soit pas sur charnière. Photo : Bertrand Dussart
Les matériaux de la casquette de tableau de bord sont peu flatteurs au toucher, mais ont l'air solides. Photo : Bertrand Dussart
Le tableau de bord affiche complet. Si les infos de base sont clairement visibles, on se perd un peu lorsque l'on cherche des infos précises de radio par exemple. Photo : Bertrand Dussart
L'éclairage est très puissant. De quoi envisager des trajets nocturnes sans souci. Photo : Bertrand Dussart
La trappe à essence reste, comme sur la Goldwing, verrouillée à clé. Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
En revanche, que faire du bouchon une fois dévissé ? Photo : Bertrand Dussart
Le flanc gauche abrite les commandes de radio et un vide poches, qui ne se verrouille pas hélas. Photo : Bertrand Dussart
Ce vide-poches accueille la connectique pour MP3. Photo : Bertrand Dussart
La capacité des valises a été un peu augmentée, mais leurs formes les rendent peu pratiques à l'usage. Photo : Bertrand Dussart
Un casque ne logera pas dans la valise de droite... Photo : Bertrand Dussart
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Pratique : les valises sont retenues par des vérins pneumatiques. Pour une ouverture en douceur. Photo : Bertrand Dussart
La valise de gauche est un peu plus vaste que sa voisine. Un petit casque y rentre. Photo : Bertrand Dussart
Pour déverrouiller les valises, c'est ici que ça se passe... Photo : Bertrand Dussart
... après s'être fendu d'un déverrouillage tout à l'arrière du vaisseau. Photo : Bertrand Dussart
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Il n'est nulle part fait mention du nom Goldwing. Cette Honda se nomme F6B, juste F6B. Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
Photo : Rémi Navarro
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Avec deux motos qui fleurent bon les seventies, l'arsouille n'est jamais bien loin... Photo : Rémi Navarro
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Le freinage de la W 800 est plus que limite. Prévoir de bonnes semelles pour utiliser les pieds aussi ! Photo : Rémi Navarro
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Selle badgée, superbes réservoir avec emblèmes, peinture bicolore et compteurs splendides : la W 800 SE est un régal à détailler. Photo : Rémi Navarro
Contrairement à Honda, Kawasaki n'a pas caché l'injection de sa W 800 (côté gauche du moins) en l'ornant de quelques pièces chromées. Ce n'est pas une rampe de carbus, mais il y a pire ! Photo : Rémi Navarro
Photo : Rémi Navarro
Les grippe-genoux sont un gimmick repris aux anglaises des années 60. Photo : Rémi Navarro
Là où le bat blesse. Le simple disque avant fait ce qu'il peut et le tambour, ben... il ralentit ! Photo : Rémi Navarro
Les rétroviseurs sont bonssur nos deux machines. Mention spéciale à ceux de la W 800, plus larges. Photo : Rémi Navarro
Photo : Rémi Navarro
Photo : Rémi Navarro
Photo : Rémi Navarro
Photo : Rémi Navarro
Sur la Honda aussi, la selle est signée. Rien que ce détail suffit à repartir dans le temps. Photo : Rémi Navarro
Le réservoir plus anguleux de la CB 1100 est également superbe. Attention cependant à la peinture, fine et fragile (notre moto de presse avait déjà de beaux impacts de cailloux à 4 000 km...). Photo : Rémi Navarro
Deux avertisseurs, deux tonalités différentes : rien de tel pour chasser l'importun. Photo : Rémi Navarro
Les compteurs reprennent le vert des premières CB 750 Four. Moins élégants que ceux de la Kawa, ils sont en revanche plus complets. Photo : Rémi Navarro
La selle masque un bac assez profond, idéal pour ranger de menues affaires et un antivol. Photo : Rémi Navarro
Le point fort de la Honda. Si la ligne est ancienne, le freinage C-ABS est on ne peut plus moderne et au-dessus de tout soupçon, limite trop puissant. Photo : Rémi Navarro
La finition de la CB 1100 fait honneur à la réputation de Honda. Notez les tétines sous la selle, pour accrocher des sandows. Bien vu ! Photo : Rémi Navarro
Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
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La largeur du postérieur est conséquente avec les valises en place. Gaffe en ville ! Photo : Simon Palatchi
Quoi ma gueule ? La Versys possède un physique particulier, qui en rebutera certains. Mais sa beauté est ailleurs. Photo : Simon Palatchi
Le réglage en hauteur de la bulle est simple. On aurait aimé plus d'amplitude, et qu'il soit vers l'intérieur et non l'extérieur. Photo : Simon Palatchi
La planche de bord peut intégrer une prise 12V à gauche du tableau de bord, mais en option. Photo : Simon Palatchi
Le compteur à fond rouge est spécifique à la Versys 1000. Photo : Simon Palatchi
Il dispense toutes les informations nécessaires : heure, deux trips, totaliseur, conso instantanée et moyenne, température extérieure, cartographie moteur, mode du KTRC, autonomie restante et voyant Eco, comme sur toutes les Kawasaki récentes. Photo : Simon Palatchi
Les poignées chauffantes sont une option (239 €) ce qui explique la non-intégration du module de commande. Notez la sélection au guidon des modes de conduite et du KTRC. Photo : Simon Palatchi
Le beau silencieux Akrapovič est en option. Il remplace avantageusement la gamelle noire de série, sans donner trop dans les vocalises. Photo : Simon Palatchi
La greffe du moteur de la Z 1000 dans une partie-cycle de trail prend plutôt bien. Dommage que ce quatre-cylindres ait emmené avec lui ses vibrations... Photo : Simon Palatchi
Le frein arrière est efficace bien que peu mordant. Lorsque la moto est très chargée (avec plus de poids sur l'arrière), on aimerait un poil plus de mordant pour aider la moto en courbe. Photo : Simon Palatchi
Le train avant est génial ! On place la Versys du bout des doigts sans jamais avoir l'impression de forcer ou de se battre. Le freinage non radial est suffisamment performant. Photo : Simon Palatchi
La selle offre un réel confort pour le conducteur comme pour le passager. Testée et approuvée après 11 heures au guidon ! Photo : Simon Palatchi
Les aides électroniques sont présentes et efficaces, mais vraiment discrètes. Photo : Simon Palatchi
L'amortisseur est presque inaccessible... Photo : Simon Palatchi
Heureusement Kawasaki a pensé à déporter le réglage de précharge ! Photo : Simon Palatchi
Le grand top-case de 47 litres peut engloutir deux intégraux. Photo : Simon Palatchi
Les valises de 35 litres chacune sont parfaitement logeables et suffisament larges pour prendre des objets volumineux. Photo : Simon Palatchi
Les valises se montent et démontent facilement. En revanche un système avec clef unique pour le contact, le top-case et les valises serait bienvenu. Trois clés, c'est trop... Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
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Photo : Simon Palatchi
Près de 10 mkg de couple qui déboulent d'un coup dans du sable, ça patine ! Photo : Simon Palatchi
La DS, modèle typé trail du constructeur, permet du hors-piste sans déranger tout le monde... Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
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Photo : Simon Palatchi
Si la finition progresse, il reste quelques efforts à faire... Témoin, les plastiques qui se rayent assez vite. Photo : Simon Palatchi
ZF11.4 lithium-ion. Traduction : batterie lithium-ion (le top du moment) de 11,4 kWh de capacité maximale. Photo : Simon Palatchi
Tiens, un phare de MT-03... L'éclairage est convaincant la nuit. Photo : Simon Palatchi
La finition du modèle se voit aussi dans ces belles platines. Photo : Simon Palatchi
La transmission par courroie est propre et silencieuse par rapport à une chaîne. Un bon point sur une moto électrique... Photo : Simon Palatchi
Le frein avant Nissin est assez puissant, mais manque cruellement de feeling et de mordant. Ce n'est pas du haut de gamme pour le fabricant japonais ! Photo : Simon Palatchi
Le frein arrière est mollasson. Dommage... Photo : Simon Palatchi
Les pneus Michelin Anakee III de notre modèle d'essai remplacent avantageusement les IRC d'origine à crampons sauf, peut-être, sur le sable ! Photo : Simon Palatchi
Notez les poignées intégrées à la coque arrière. En revanche, pourquoi diable clignotants et feu ne passent-ils pas aux diodes, plus 'techno' et consommant moins ? Photo : Simon Palatchi
Le compteur est pauvre. Mais une application gratuite (téléchargeable via AppStore, Google Play store ou Android Market) permet de visualiser et paramétrer toute l'informatique de la moto ! Photo : Simon Palatchi
Le bouton de sélection des modes (Sport ou Eco) mériterait d'être au guidon, pour plus de praticité. Photo : Simon Palatchi
Les réglages de fourche (et de suspension) sont très efficaces. Mais la fourche elle-même mériterait d'être de meilleure qualité. Photo : Simon Palatchi
L'amortisseur Fast Ace est un poil sec, mais convient. Mais encore une fois, des éléments d'un grand manufacturier seraient plus indiqués vu le tarif prohibitif de la Zero... Photo : Simon Palatchi
La béquille latérale est costaude et bien finie. Photo : Simon Palatchi
Les rétroviseurs sont plus espacés sur ce modèle 2013. Un bon point pour ne pas voir ses coudes. Photo : Simon Palatchi
Des cale-pieds passagers en série, enfin ! Notez l'emplacement de la prise de charge, dans le cadre, bien moins exposé qu'avant à l'eau et aux salissures. Photo : Simon Palatchi
La selle s'avère confortable et bien large pour le séant. Même constat côté passager. Photo : Simon Palatchi
Autre bonne idée du modèle 2013, ce sac amovible. Pratique pour loger antivol ou équipement de pluie. Photo : Simon Palatchi
Il subsiste des réflexes de motard 'thermique'... La pompe à essence, ça ne sert à rien ! Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
Ce silo à grains situé à Courpalay (77) est classé parmi les monuments historiques industriels. Il date de 1937. Photo : Emilien Braud
Colosse de béton face à monstre de métal et d'électronique. Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
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Le hors-piste n'est absolument pas la tasse de caffe de la Multistrada Granturismo. Lourde, encombrante et équipées de roues de 17 pouces, elle n'est plus faite pour ça... Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
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Photo : Emilien Braud
Plus d'un mètre de large de bord à bord ! Attention dans la circulation, c'est vraiment très large... Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Le Testastretta 11° est amputé d'un tiers de sa puissance en France, mais son couple généreux permet de relancer la Multi avec vigueur en sortie de virage. Photo : Emilien Braud
On finit par se faire à ce faciès. Mais le radiateur qui se cache derrière ce 'bec' est très exposé quand même. Photo : Emilien Braud
Les optiques utilisent des LED, hormis pour les feux de route qui conservent des ampoules halogènes. Ces LED apportent un je-ne-sais-quoi de statutaire à la Multistrada, comme sur des grosses berlines allemandes. Photo : Emilien Braud
Le freinage confié à Brembo est parfait. Puissance, feeling, ABS réglable, tout y est... Photo : Emilien Braud
Ducati Safety Pack. En français dans le texte, cela se traduit par anti-patinage DTC réglable et ABS réglable. Photo : Emilien Braud
La Granturismo est la Multistrada la plus évoluée, la plus chètre aussi. Photo : Emilien Braud
La fourche se règle automatiquement depuis le guidon grâce au système DSS, Ducati Skyhook Suspension. Photo : Emilien Braud
L'amortisseur arrière se règle depuis le tableau de bord en précharge, compression et détente pour chacun des quatre modes programmés. Dingue... Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Comme les phares, le feu utilise une technologie à LED. Sympa la nuit et très visible. En revanche, pourquoi pas les clignotants arrière ? Photo : Emilien Braud
Le commodo gauche intègre les boutons de commande de toute l'électronique de la moto. Pratique, mais pas si simple. Photo : Emilien Braud
Le commodo droit sert au démarrage, mais aussi aux poignées chauffantes. Photo : Emilien Braud
Une fois les valises déposées, les crans de fixations restent très discrets. Photo : Emilien Braud
Une fois déposées, les valises libèrent la vue sur le monobras, la superbe jante et l'échappement court. Photo : Emilien Braud
Deux prises 12V sont installées sous la selle, une de chaque côté. Photo : Emilien Braud
La valise gauche contient un intégral sans problème. Pas la droite, rognée par l'échappement. Photo : Emilien Braud
Le tableau de bord affiche complet. Trop peut-être... Cela reste lisible tout de même. Photo : Emilien Braud
La bulle se règle en hauteur sur quatre positions manuellement et facilement. Une poignée, c'est bête comme chou ! Photo : Emilien Braud
La selle est ferme, mais reste agréable. La place dévolue au passager est accueillante une fois les valises enjambées. Photo : Emilien Braud
Le top-case engloutit sans problème deux intégraux. Photo : Emilien Braud
Sage ! Couchée ! La MT-09 se dompte, sous peine de vous dominer ! Photo : Götz Goppert
Photo : Götz Goppert
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Admirez la protection de carter en forme de griffes... C'est beau, mais on vient taper le tibia dedans à l'arrêt. Photo : Götz Goppert
Photo : Götz Goppert
Le freinage est presque surdimensionné pour une moto de ce poids. Photo : Götz Goppert
Le bras oscillant est splendide. Photo : Götz Goppert
L'échappement, discret, laisseéchapper un rugissement plus proche de l'Italie que de l'Angleterre... Photo : Götz Goppert
Le frein arrière est très efficace. Cela faisait longtemps que nous n'avions vu frein arrière si mordant ! Photo : Götz Goppert
Le trois-cylindre est compact et explosif. Photo : Götz Goppert
Ce feu fait penser à celui de la MT-01, qui a lancé la lignée MT. Photo : Götz Goppert
La signature lumineuse de la MT-09 est superbe. Photo : Götz Goppert
Le réservoir est petit (14 litres), ce qui bénéficie à l'entrejambe. Photo : Götz Goppert
Photo : Götz Goppert
Photo : Götz Goppert
Le tableau de bord est très complet et lisible quelle que soit l'inclinaison du regard. Photo : Götz Goppert
Les nouveaux commodos Yamaha, très compacts, sont peu ergonomiques. Le bouton de klaxon notamment est trop loin de la main, repoussé à droite des clignotants. Photo : Götz Goppert
Le nouveau démarreur Yamaha : on le baisse pour démarrer, on le remonte pour couper le contact. Notez le bouton des modes et la commande des warnings. Photo : Götz Goppert
L'ouverture de selle est mal située et exposée aux projections, mais les ingénieurs ont eu la brillante idée de la recouvrir d'un clapet. Photo : Götz Goppert
Les veilleuses situées sur les côtés du phare auraient mérité d'être à LED plutôt qu'à ampoules, pour ajouter au côté techno. Photo : Götz Goppert
Le compteur déporté à droite est étrange, avec son faisceau très exposé. Un saute-vent est disponible en accessoire. Photo : Götz Goppert
Ces prises d'air évoquent les grandes heures de Yamaha : V-Max, MT-01... Photo : Götz Goppert
Notez le contacteur, repoussé à gauche du compteur. Étrange... Photo : Götz Goppert
La fourche est réglable en précharge... Photo : Götz Goppert
et en détente. Malgré tout, elle reste souple. Photo : Götz Goppert
L'amortisseur est uniquement réglable en précharge et est lui aussi plus orienté confort que sport. Photo : Götz Goppert
Photo : Simon Palatchi
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Photo : Simon Palatchi
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Ducati généralise l'emploi de LED dans ses optiques. C'est beau et qualitatif... Photo : Simon Palatchi
Le silencieux, qui ne l'est d'ailleurs pas, dégage bien la vue sur la roue. Photo : Simon Palatchi
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La fourche, non réglable, est tout à fait satisfaisante en usage normal. L'ABS de série est rassurant. Photo : Simon Palatchi
Rien à redire sur l'efficacité des étriers Brembo. Re-dou-tables ! Photo : Simon Palatchi
Testastretta 11°, soit la même architecture que le 1200 des Monster, Diavel et Multistrada, décliné en 821. Photo : Simon Palatchi
Comment rendre une gamelle en métal noir sexy ? Deux embouts en aluminium brossé et le tour est joué... Photo : Simon Palatchi
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Le mono-amortisseur Sachs n'est réglable qu'en précharge mais assure convenablement son office. Photo : Simon Palatchi
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Le tableau de bord et complet et permet, via le commodo gauche, de paramétrer l'ABS et l'anti-patinage DTC. Photo : Simon Palatchi
Le bouchon de réservoir est joli... Photo : Simon Palatchi
... mais pas sur charnière. Dommage ! Photo : Simon Palatchi
Sous la selle, peu voire pas de place, mais quatre sangles dépliables pour arrimer des sandows. Photo : Simon Palatchi
Les Pirelli Diablo Rosso II montés en série sur les très belles jantes n'ont posé aucun souci, même sous une pluie battante. Photo : Simon Palatchi
Autre détail de finition, le passage de roue lisse. C'est vraiment plus facile à nettoyer ! Photo : Simon Palatchi
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Photo : Emilien Braud
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La Honda et la seule dont le croupion ne soit pas illuminé par des LED. Nous ne sommes pas fans des gros clignotants... Photo : Emilien Braud
L'échappement est discret et bien fini. Certaines marques pourraient s'inspirer de la finition Honda. Photo : Emilien Braud
Le freinage C-ABS est redoutable d'efficacité. Photo : Emilien Braud
Le frein arrière est performant, ce qui n'est pas toujours le cas sur ce genre de motos. Photo : Emilien Braud
Le tableau de bord est assez complet, mais peu lisible. Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
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Le feu de la Z 800 dessine deux Z. C'est bien pensé ! Photo : Emilien Braud
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Le frein avant n'est pas le même sur la Z 800 e que sur la Z 800. Néanmoins, il freine... Photo : Emilien Braud
Le tableau de bord est complet, mais disperse un peu les informations. Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
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Photo : Emilien Braud
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Le train avant de la GSR est bon, mais le freinage est plus que mollasson. Photo : Emilien Braud
Même remarque concernant le frein arrière. L'échappement Yoshimura est beau et de série sur cette chère Street Edition. Photo : Emilien Braud
Le tableau de bord est complet mais fait un peu plus cheap que ceux des concurrentes. Photo : Emilien Braud
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Sous cet angle, difficile d'identifier une Triumph Street Triple du premier coup, surtout si elle nous double vite... Les pots sous la selle pesaient trop lourd, mais ils avaient un certain charme. Photo : Emilien Braud
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Le frein avant Nissin est efficace. Photo : Emilien Braud
Le frein arrière (signé Brembo lui, bizarre) assure son office, sans exceller toutefois. Photo : Emilien Braud
L'échappement bas est beau et bien fini, mais il fait perdre une bonne partie de son âme à la Triumph. Et quelques kilos aussi ! Photo : Emilien Braud
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Le tableau de bord de la Triumph est très complet. Il fait toujours appel à une bonne vieille aiguille (comme la Suz', c'est de plus en plus rare !). Photo : Emilien Braud
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Le feu de la MT-09 rappelle celui de la MT-01. Il est beau mais fait un peu 'perché' au bout de la selle. Photo : Emilien Braud
La Yamaha est la seule à disposer d'étriers radiaux, et ça se sent ! Ils allie une puissance démoniaque à un bon feeling. Photo : Emilien Braud
Le frein arrière de la MT-09 est également le plus mordant du lot. Photo : Emilien Braud
Le bras oscillant est sublime. Une banane qui rappelle les anciennes sportives, type RGV 250 ou Aprilia RS 250. Photo : Emilien Braud
L'échappement est discret visuellement et laisse échapper un son rauque très valorisant. Photo : Emilien Braud
Le tableau de bord de la MT-09 est le seul qui se pilote du guidon. Il est très complet lui aussi. Photo : Emilien Braud
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L'échappement retravaillé fit perdre deux chevaux au twin, qui gagne en couple. Photo : Emilien Braud
La fixation (fictive) du cache batterie reprend le look des protections d'échappement. Sympa ! Photo : Emilien Braud
L'admission d'air se fait à droite... Photo : Emilien Braud
Le contacteur se planque à droite, sous le réservoir. Pour le verrouillage de direction, c'est sur la colonne que cela se passe. Photo : Emilien Braud
Le compteur rond est très beau, mais sujet aux reflets. Dommage... Le commodo droit permet de piloter les maigres informations du tableau de bord depuis le guidon. Notez le patin en caoutchouc pour protéger le réservoir lorsque l'on retire le bouchon de réservoir, pas sur charnière. Photo : Emilien Braud
Le réservoir goutte d'eau ne contient que 12 litres, mais le bicylindre est sobre. Photo : Emilien Braud
La finition est quasi parfaite, s'il n'y avait ces câbles d'alimentation électrique de l'injection, bien visibles de la gauche. Photo : Emilien Braud
Les jantes à 12 bâtons sont élégantes. Le freinage ABS de série est suffisant avec un seul disque. Photo : Emilien Braud
Le feu à LED cyclopéen est une pièce magnifique, à déguster de nuit ! Photo : Emilien Braud
Les suspensions à bonbonne séparée sont l'apanage de la XV 950 R. Photo : Emilien Braud
La selle conducteur est détachée du réservoir, laissant apparaître le cadre façon Harley-Davidson Forty-Eight. Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
La transmission par courroie se fait totalement oublier. Photo : Emilien Braud
Si le conducteur est bien loti, le passager est au supplice : petit pouf et jambes très pliées. La Bolt se déguste en solo ! Photo : Emilien Braud
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La valve à l'échappement est un peu trop visible... Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Le bocal de liquide de frein est bien visible côté droit, tandis que le côté gauche adopte la molette de réglage de la précharge d'amortisseur. Photo : Emilien Braud
Le freinage est au-dessus de tout soupçon. Merci Tokico ! Notez le garde-boue long, qui protège efficacement le cylindre avant, l'échappement et accessoirement, les bottes ! Photo : Emilien Braud
Le garde-boue est également très bien conçu au niveau de la protection des spis de fourche, avec ces larges épaulements. Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
L'échappement, pas trop laid, distille une mélodie douce et peu agressive pour les tympans. Dommage pour certains, génial pour d'autres... Photo : Emilien Braud
Le tableau de bord est un modèle du genre. Parfaitement lisible, il affiche complet : jauge d'essence et de température moteur, deux trips, totalisateur kilométrique, heure, température extérieure, autonomie, consommation instantanée et moyenne, modes de l'antipatinage et même un voltmètre ! Photo : Emilien Braud
V-Strom : un nom associé depuis longtemps aux maxi-trails, même si cette nouvelle génération s'est faite attendre. Photo : Emilien Braud
Le commodo gauche permet de piloter le tableau de bord aisément. Notez l'embrayage hydraulique. Photo : Emilien Braud
A droite, les classiques coupe-contact et démarreur, et les warnings. Photo : Emilien Braud
Le porte-paquets arrière intègre deux très larges poignées, idéalement placées pour le passager. Photo : Emilien Braud
Le feu stop fait appel aux LED. Photo : Emilien Braud
La fourche se règle aisément en tous sens. Précharge et compression en haut de chaque tube, détente en bas. Photo : Emilien Braud
Le moteur, toujours issu de la TL 1000 mais remanié, montre quelques câbles et sondes lambdas bien visibles. Photo : Emilien Braud
Les cale-pieds passagers font un peu cheap... Pour un peu on les croirait issus d'une GS 500. Il a bien fallu rogner quelque part ! Photo : Emilien Braud
Le bec de canard évoque le museau des DR 750 et 800 de la fin des années 80. Photo : Emilien Braud
La bulle se règle d'une simple pression en inclinaison. Point le plus bas, ... Photo : Emilien Braud
... point milieu, ... Photo : Emilien Braud
... et point le plus haut ! Simple et efficace. Photo : Emilien Braud
Sous la selle, on trouve une trousse à outils et un peu de place, pour loger un petit U, un pantalon de pluie ou encore cette trousse de premiers secours. Photo : Emilien Braud
Suzuki est connu pour faire des clés très longues actuellement. Record battu ! Pratique dans la poche... Photo : Emilien Braud
Pour un peu, on passait dans la catégorie des armes blanches ! Photo : Emilien Braud
Vous êtes plutôt orange ou citron vert ? Les Z ont existé en divers coloris acidulés au gré des années. Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
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Les carters assortis à la peinture de la carrosserie sont l'apanage des deux premiers millésimes (2003 et 2004). Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
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Aaaaah les flûtes. Quatre sorties dressées vers les cieux évoquant les quatre pots des Z 900 originelles. Beau, bien fini et agréable à l'oreille ! Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
Le tableau de bord tout digital et tout rond a aussi fait couler de l'encre. Peu lisibles pour certains par rapport à des aiguilles, il s'avère en fait convenable. Mais avare en infos par rapport à ce qui se fait aujourd'hui... Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
Les écopes couleur aluminium sont des éléments flatteurs. Le plus modeste Z 750 n'en disposait pas. Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
Le postérieur du Z a marqué bien des esprits à sa sortie. D'autant qu'il était souvent devant ! Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
La fourche est encore conforme aux valeurs actuelles, avec ses réglages en précharge, compression et détente. Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
Les jantes assorties à la peinture de la carrosserie sont là encore, réservées aux deux premiers millésimes. Après, noir pour tout le monde ! Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
Le confort dévolu au conducteur comme au passager est bien meilleur sur les deux premières générations. Selles larges et moelleuses, suspension en accord, bref, pas des bouts de bois ! Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
Le freinage du premier Z 1000 moderne n'était pas ridicule à sa sortie. Aujourd'hui ça freine bien, mais ce n'est pas du radial... Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
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La bulle reprend le design des silencieux. Malin ! Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
Les carters perdent leur insert de couleur, mais sont très travaillés. Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
Avec le temps, les échappements de cette seconde génération s'améliorent. Finalement, on a vu beaucoup plus laid depuis ! Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
Le postérieur du millésime 2007 est large, que ce soit au niveau des échappements comme au niveau de la coque. Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
Le tableau de bord de la seconde génération, est le seul doté d'une aiguille. Il est lisible, mais simple (totalisateur, heure, un trip et basta). Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
En 2007, les étriers passent au radial, et ça se sent. Le freinage gagne en puissance ! Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
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Drôle de tableau de bord orange ! Lisible, et plus complet que par le passé (deux trips, consommation). Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
La tirette sur le côté permet de régler l'inclinaison du tableau de bord. Un pur gadget... Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
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En 2010, le bloc gagne 90 cm3, pas mal de couple et quelques chevaux. Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
Le freinage confié à Tokico progresse sensiblement pour la troisième génération. Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
Le feu à LED est partagé avec la Versys 650. Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
Les échappements étaient chromés sur le modèle 2010, comme le bord des jantes. Après, place au noir ! Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
Cette troisième génération est la seule à proposer des poignées passager. Mais comme la selle est en bois... Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
Le Z 1000 2013 fait appel à une fourche inversée des plus classiques. Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
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Ces phares sont d'un éblouissant ! Le drôle de regard du Z 1000 2014 est du à l'emploi de LED. Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
Le tableau de bord en deux parties est spécifique au Z 1000 2014. Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
A l'allumage, c'est au choix : Star Trek ou K 2000 ? Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
Le compte-tours commençant verticalement en bas pour se poursuivre horizontalement en haut est une originalité. La jauge à essence ronde aussi ! Tout est assez lisible. Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
Le feu stop triangulaire est élégant. Notez la selle passager très fine et l'absence de toute poignée... Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
Les échappements du modèle 2014, identiques à ceux de la Z 1000 SX, laissent échapper une sonorité un peu plus grave que sur la génération précédente. Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
Les carters du bloc 1 043 cm3 évoluent peu. C'est toujours la même bête ! Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
Le freinage progresse encore sur le 2014. Les étriers radiaux mordent à pleins pistons dans les disques ! Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
Ces 'lames' latérales qui se finissent comme suspendues dans le vide sont l'une des signatures du Z 1000 2014. Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
La fourche du modèle 2014 est une Showa Big Piston à réglages dissociés. Détente sur l'un des tubes, compression sur l'autre. Photo : Yann Chanteloup/Hasah photo
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Arwa Barkallah
Photo : Arwa Barkallah
Photo : Arwa Barkallah
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Photo : Emilien Braud
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Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Le tableau de bord de la Honda est assez complet. On regrette juste la standardisation à outrance de la marque, ce bloc étant identique à celui d'une CB 500 ou d'un...MSX 125 ! Photo : Emilien Braud
La selle offre un bon confort d'assise. Notez les poignées passager, larges et bien disposées. Photo : Emilien Braud
L'échappement émet une sonorité plus flatteuse que celle des NC mais toujours un peu triste pour un custom. Photo : Emilien Braud
Pas de sélecteur ! Au début, cela déroute après on oublie... Photo : Emilien Braud
Le commodo droit dispose des commandes de sélection des modes. Passage du point mort (N) aux modes automatique D et S en bas, passage en manuel via la gâchette située derrière. Photo : Emilien Braud
A gauche, on retrouve les désormais classiques commandes inversées klaxon/clignotants, ainsi que les commandes manuelles. Le rétrogradage s'effectue au pouce... Photo : Emilien Braud
... et le passage au rapport supérieur à l'index. Notez la grosse poignée du frein à main. Photo : Emilien Braud
L'accès au réservoir se fait par une discrète trappe. Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Surprise, un petit espace de rangement est également présent ! Photo : Emilien Braud
Le bouchon, qui ferme a clef, n'est pas monté sur charnière. Pas grave, on peut toujours le poser dans le rangement... Photo : Emilien Braud
Le bloc des NC est très incliné dans le châssis. Ajoutez à cela le poids de la boîte à double embrayage (12 kg environ) et vous comprenez pourquoi le centre de gravité de la CTX est si bas. Photo : Emilien Braud
Le freinage est impressionnant d'efficacité ! Pourtant, c'est un simple étrier deux pistons qui officie sur l'unique disque... Photo : Emilien Braud
Les valises qui fermet à clef sont idéales pour ranger deux caleçons et une brosse à dents (le matos pour un week-end à rallonge). Pas un casque en revanche...Photo : Emilien Braud
Dual Clutch Transmission, ou transmission à double embrayage en français. Un modèle d'onctuosité malgré quelques à-coups en mode D. Photo : Emilien Braud
'Cool y'a même la radio !' Le staff Honda l'a entendu souvent celle là et, non, c'est juste de la déco ! Photo : Emilien Braud
La serrure d'ouverture de la selle est bien planquée ! Pas grave, de toutes façons il n'y a pas de place dessous. Photo : Emilien Braud
Photo : Arwa Barkallah
Photo : Arwa Barkallah
Photo : Arwa Barkallah
Photo : Arwa Barkallah
Photo : Arwa Barkallah
Le compteur de la Kawasaki est un peu moins complet. Et sa position 'custom' sur le réservoir oblige à quitter la route des yeux pour le consulter... Photo : Arwa Barkallah
La selle offre un confort pullman. Pas le dosseret du sissy-bar, à la mousse pas assez dense. Photo : Arwa Barkallah
Les échappements chromés émettent un son grave, en accord avec l'esprit de la moto. Photo : Arwa Barkallah
Beaucoup plus simple que la CTX non ? Un coupe-contact, un démarreur et... c'est tout ! Photo : Arwa Barkallah
Même constat, c'est moins fourni ! Notez les clignotants et le klaxon, dans le bon sens... Photo : Arwa Barkallah
Pas plus de charnière sur la VN 900 que sur la CTX. Et rien pour poser le bouchon en plus... Photo : Arwa Barkallah
Le moteur est très élégant, dans ses parures chromées. Les ailettes sont là pour le style, car le bicylindre en V est à refroidissement liquide. Photo : Emilien Braud
Notez sous cet angle le sélecteur double branche (pratique pour ne pas ruiner ses Santiags !) et le ventilateur derrière le radiateur. Photo : Emilien Braud
La finition de la Kawasaki est très bonne, à l'image des jantes à rayons. Photo : Arwa Barkallah
Le simple disque à étrier deux pistons Tokico officie honnêtement, mais sans commune mesure avec la Honda. L'ABS n'est pas disponible. Photo : Arwa Barkallah
Les sacoches en cuir sont l'apanage de cette version Light Tourer. Photo : Arwa Barkallah
De bonne facture, elles ne ferment hélas pas à clef. Pas cool... Photo : Arwa Barkallah
La contenance est à peu près identique à celle fournie par la CTX. L'ouverture supérieure est toutefois un peu moins pratique, car moins large. Photo : Arwa Barkallah
La transmission par courroie avantage la Kawasaki par rapport à la Honda. C'est propre, silencieux, bref, pas prise de tête ! Photo : Arwa Barkallah
Grand pare-brise et phares additionnels font également partie de la dotation du pack Light Tourer. Un grand méchant look de custom 'ricain pour cette petite japonaise ! Photo : Arwa Barkallah
Photo : Simon Palatchi
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Photo : Simon Palatchi
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Ce frein avant, si simple soit-il, est d'une rare efficacité ! Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
Le bicylindre en ligne, très incliné, gagne en cylindrée, en couple et en puissance. La boîte DCT à double embrayage voit ses rapports rallongés, ce qui profite à l'agrément. Photo : Simon Palatchi
Ce silencieux Akrapovič ne fait pas partie de la dotation de série (+ 720 €). Il révèle un peu la sonorité du bicylindre. Photo : Simon Palatchi
Ce feu sur mât ne plait pas à tout le monde. Photo : Simon Palatchi
Le commodo gauche est fourni. Outre les commandes classiques, avec klaxon et clignotants inversés, il s'équipe des commandes manuelles de la boîte DCT. Photo : Simon Palatchi
Le commodo droit arbore les boutons de sélection du mode de transmission, ainsi que celui du passage au point mort. Photo : Simon Palatchi
Le tableau de bord des NC commence à être connu... Il est assez complet et bien lisible à défaut d'être joyeux. Photo : Simon Palatchi
La bulle est un peu courte. Elle dévie l'air du torse et des épaules, mais peine à protéger le casque des remous d'air. Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
La transmission fait appel à une chaîne. Photo : Simon Palatchi
Les cale-pieds gommés sont exempts de vibrations. La béquille centrale ne fait hélas pas partie de la dotation de série... Photo : Simon Palatchi
La serrure située sur le 'faux' réservoir commande l'ouverture du coffre et de la trappe à essence. Photo : Simon Palatchi
Le coffre est assez vaste ! Il contient entre autre la trousse à outils. Dommage qu'il ne soit pas habillé, on a vite fait de rayer son casque... Photo : Simon Palatchi
Un Shark Vantime en L avec une mentonnière proéminente, ça ne rentrera jamais ! Ah ben si... Et ça ferme ! Photo : Simon Palatchi
L'essence se cache sous la selle passager. Le bouchon ne verrouille pas et n'est pas sur charnière, mais on peut le poser à côté en faisant le plein. Photo : Simon Palatchi
Avec les deux trappes ouvertes, la NC 750 X DCT se donne des airs de gros coléoptère prêt au décollage non ? Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
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Photo : Bertrand Dussart
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Photo : Bertrand Dussart
Les feux de la Ducati, percés de part en part, sont un régal à regarder. La nuit, c'est encore mieux ! Photo : Bertrand Dussart
La suspension de la 899 est simplifiée par rapport à la 1199. Finies la biellette et l'assiette réglables ! Notez le shifter sur la tige de sélecteur. Photo : Bertrand Dussart
La ligne d'échappement de la Ducati laisse s'échapper un son grave, mélodieux mais bien trop élevé pour nos pauvres tympans ! Photo : Bertrand Dussart
Le Superquadro s'avère bien plus doux en 899 qu'en 1199, son avoir cependant perdu son caractère. Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
Le commodo gauche pilote tout le tableau de bord, en plus du classique appel de phares/klaxon/clignotants. Photo : Bertrand Dussart
A droite, on ne trouve que le démarreur et, essentiel, la poignée de gaz ! Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
Le tableau de bord de la Ducati est complet et lisible. Il n'y manque rien, hormis une jauge à essence... Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
Sous la selle de la Panigale, on trouve la sangle passager et une trousse à outils, mais pas vraiment de place... Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
Notez la présence du shifter sur cette F3 800. Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
Le monobras de la F3 800 est dégagé par les trois sorties d'échappement courtes. Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
La finition de la MV Agusta n'est pas toujours au niveau de son tarif, comme en témoignent ces fils bien visibles, inexistants sur sa rivale de Bologne. Photo : Bertrand Dussart
Les rétroviseurs de la MV sont beaux et c'est tout. Question rétrovision, c'est nul et passé 5 000 tr/mn ils vibrent... Photo : Bertrand Dussart
Comme sur la Ducati, le commodo gauche pilote le tableau de bord grâce aux deux touches situées sur le côté (partie plus grise). Notez le klaxon/clignotants inversé, comme chez Honda. Photo : Bertrand Dussart
A droite, il n'y a là aussi que le démarreur, qui sert également pour choisir la cartographie moteur. Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
Le tableau de bord de la MV est aussi complet que la Ducati, mais moins lisible. Il manque toujours une jauge à essence et les voyants à droite se voient mal en plein jour. Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
Ce museau effilé rappelle celui de la F4, trait de génie de Massimo Tamburini. Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
La selle passager de la F3 est raide, très raide... Photo : Bertrand Dussart
Son ouverture est cachée entre deux tubes du treillis en acier du cadre. Photo : Bertrand Dussart
En dessous, peu de place. De quoi mettre un paquet de mouchoirs et ce qu'il reste de sous sur son compte en banque... Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
La Suzuki est la seule qui possède des repose-pieds conducteur réglables. Photo : Bertrand Dussart
La GSX-R possède des étriers Brembo, comme ses rivales italiennes. Mais le feeling est un peu moins bon, moins percutant. Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
Ce silencieux Yoshimura GP Evo V S est une option. Comptez 650,29 € HT en plus. Photo : Bertrand Dussart
Le commodo gauche comporte les commandes des clignotants, des phares et du klaxon, plus la commande des cartographies moteur via la gâchette habituellement dévolue à l'appel de phares. Photo : Bertrand Dussart
A droite, on retrouve le démarreur et les commandes du tableau de bord. Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
Le tableau de bord de la Suzuki est moins complet (normal, il n'y a pas d'électronique à outrance), mais possède plus que l'essentiel et est parfaitement lisible, avec son gros compte-tours analogique et son shift light qui flashe ! Toujours pas de jauge à essence en revanche... Photo : Bertrand Dussart
Le capot de selle imitation carbone ? Encore une option à 161,05 € HT ! Photo : Bertrand Dussart
La Suzuki n'est pas la moins accueillante du lot, loin de là ! Son réservoir ventru pourra toutefois déconcerter certains. Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
Pas de shifter sur la Suzuki ! Pas plus que d'ABS ou d'antipatinage... Photo : Bertrand Dussart
Photo : Bertrand Dussart
Sous la selle, la Suzuki offre le plus d'espace. Ça part loin devant sous la selle conducteur, gaffe aux petits objets ! Photo : Bertrand Dussart
Photo : Simon Palatchi
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Les LED présentes sur les côtés du phare souligne un regard agressif et très performant la nuit. Photo : Simon Palatchi
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Le feu stop évoque celui des Z ou des ER-6n : du pur Kawasaki. Photo : Simon Palatchi
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Le frein avant est performant. Notez l'ABS de série, confié à une centrale Bosch de dernière génération. Photo : Simon Palatchi
L'étrier arrière est le même qu'à l'avant, d'où un freinage aussi efficace ! Badgés Kawasaki, ces étriers sont pourtant les mêmes que ceux du Kymco. Photo : Simon Palatchi
Les repose-pieds passagers sont dépliants. Plus pratique que des platines, car cela permet d'écarter les pieds du carénage. Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
Le silencieux, assez moche, est caché par un volumineux carénage plastique, plus élégant. Photo : Simon Palatchi
Le contacteur est obturé par un cache d'une simple pression sur le bouton jaune. Photo : Simon Palatchi
Pour le déverouiller, il faut utiliser la clef de contact. Du pur Kymco ! Photo : Simon Palatchi
La trappe à essence est classiquement située entre les jambes. Photo : Simon Palatchi
Une trappe située dans le tablier (à gauche) abrite un petit espace de rangement et une prise 12V. Elle ne verrouille pas à clef. Photo : Simon Palatchi
Le tablier se dote d'un crochet pratique pour arrimer un sac. Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
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Le tableau de bord est lisible et complet (jauges à essence et température moteur, deux trips, heure), mais basique. Photo : Simon Palatchi
La nuit, c'est très agréable avec un rétro-éclairage bleuté. Photo : Simon Palatchi
Notez la présence des warnings, situés sur le commodo droit (bouton jaune). Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
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Le niveau de liquide de refroidissement se contrôle d'un œil, par le tablier. Photo : Simon Palatchi
Le coffre est vaste mais peu profond. Photo : Simon Palatchi
La diode d'éclairage est munie d'un temporisateur. Photo : Simon Palatchi
Un casque jet, comme ici, rentre facilement. Pour un gros casque modulable ou intégral, c'est moins sur, et deux casques, c'est mort ! Photo : Simon Palatchi
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
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Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Comme sur l'Hypermotard, le phare est ceint de LED faisant office de feux de position. Photo : Emilien Braud
Le tableau de bord est strictement identique à celui de l'Hypermotard, mention Hyperstrada à l'allumage exceptée évidemment ! Photo : Emilien Braud
Le commodo gauche pilote le tableau de bord, en plus d'actionner les phares, clignotants, warnings et autre avertisseur sonore ! Photo : Emilien Braud
A droite en revanche, c'est calme : le démarreur et basta... Photo : Emilien Braud
Comme sur l'Hypermotard, les rétroviseurs de l'Hyperstrada sont doté d'une surface rognée dans le coin inférieur à l'extérieur. Dommage, cette zone aurait pu améliorer la - déjà bonne - rétrovision. Photo : Emilien Braud
La bulle de l'Hyperstrada est un poil courte pour protéger les grands gabarits. Sa protection se limite au buste. Photo : Emilien Braud
Pratique pour entretenir sa routière, la béquille centrale. Ducati la fournit en série sur l'Hyperstrada. Photo : Emilien Braud
Le garde-boue de l'Hyperstrada est sensiblement plus long que celui de l'Hypermotard. Photo : Emilien Braud
L'amortisseurs Sachs possède une cartouche séparée. Notez la discrète prise 12V qui y est accolée. Photo : Emilien Braud
Le 821 liquide, plus souple que l'ancien 796 à air, sied bien à cette définition voyageuse du supermotard Ducati. Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Le train avant est toujours aussi efficace et précis, même chaussé en Pirelli Scorpion Trail. Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Notez la grosse molette de réglage de la précharge de l'amortisseur, très facile d'usage. Photo : Emilien Braud
Finition soignée et confort acceptable pour la selle, pour une routière il s'entend. Photo : Emilien Braud
Deux valises : de quoi envisager de belles balades sportives au guidon de l'Hyperstrada ! Photo : Emilien Braud
Dans chaque valise, deux systèmes permettent de retenir le contenu. Photo : Emilien Braud
Ces valises ne sont pas étanches, mais Ducati prévoit tout de même un sac étanche interne. Un peu cheap tout de même... Photo : Emilien Braud
La partie arrière de l'Hyperstrada accueille un porte-paquets, qui fait également office de poignées pour le passager. Photo : Emilien Braud
La clef de contact sert pour retirer les valises. Elle aurait aussi pu servir à les verrouiller, mais non ! Dommage. Photo : Emilien Braud
Le système de fixations des valises en trois points est intelligent et facile à manipuler. Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Simon Palatchi (Affiche : Alexandre Dauchez)
Photo : Simon Palatchi
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Photo : Simon Palatchi (Affiche : Alexandre Dauchez)
Photo : Simon Palatchi
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Le train avant de la MT-07 est très vif, ce qui peut dérouter le débutant. Une fois qu'on s'y est fait, c'est un régal avec un freinage tip-top... Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
Les carters de la Yamaha sont magnifiques, très travaillés. Photo : Simon Palatchi
Ce bicylindre calé à 270°, comme les TDM et Super Ténéré, possède un caractère de teigne. Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
Le compteur est splendide et parfaitement lisible. Heure, consommation moyenne et instantanée, régime, deux trips, totalisateur, indicateur de rapport engagé, tout y est. La vitesse s'inscrit en très gros caractères à droite, on ne peut pas la rater ! Photo : Simon Palatchi
Le réservoir possède des formes sympathiques. En revanche, entre le matériau (plastique) et la protection supérieure, y fixer une sacoche relèvera du casse-tête. Photo : Simon Palatchi
Le commodo gauche, petit, est piqué à la MT-09. Le klaxon est dur d'accès dans le feu de l'action. Photo : Simon Palatchi
Le démarreur est lui aussi emprunté à la MT-09, avec ce bouton qui s'actionne vers le bas. Notez les feux de détresse. Photo : Simon Palatchi
L'arrière effilé est plaisant. En revanche, où sont les poignées passager ? Y'en à pas ! Photo : Simon Palatchi
La tension de chaîne se fait par des axes on ne peut plus basiques (bras tiré, écrou et contre-écrou). En revanche, l'axe de roue dispose d'un bel enjoliveur. Et le bras oscillant est superbe. Photo : Simon Palatchi
Admirez ces platines de repose-pieds et les enjoliveurs du cadre tubulaire ! Sur une moto à 5 699 €, ce sont de belles pièces... Photo : Simon Palatchi
Le phare reprend l'esthétique de celui des autres MT (09 et 125), mais pas les veilleuses sur les côtés (ici elle est en bas au centre). Dommage... Photo : Simon Palatchi
Côté gauche, le carter est également splendide. Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
Le feu arrière affleure la coque, et ses LED forment, de loin, le logo de la lignée MT. Bôôôô ! Photo : Simon Palatchi
Le silencieux court laisse échapper une mélodie sympathique, façon Ducati, mais bien trop étouffée. On ne l'entend presque pas ! Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
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L'amortisseur déporté est la signature des ER-6 depuis 2006. Notez que nos deux protagonistes, blanches, adoptent des ressorts rouges. Coïncidence... Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
Très lisible mais moins moderne, le tableau de bord de l'ER-6n est presque aussi complet que celui de la Yamaha. Il n'y manque que l'indicateur de rapport engagé. Photo : Simon Palatchi
Le train avant de la Kawette est plus neutre, moins incisif. C'est aussi plus rassurant pour un débutant. Photo : Simon Palatchi
Le bicylindre de la Kawasaki possède une santé équivalente à celui de la Yamaha. Mais avec près de 25 kilos à propulser en plus, les différences se voient vite côté performances... Photo : Simon Palatchi
Les commodos de la Kawasaki sont on ne peut plus classiques. Là aussi, les feux de détresse sont présents (mais à main droite). Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
Le bras oscillant de la Kawasaki, formé de deux tubes côte à côte, est très élégant aussi. Les longues platines de repose-pieds, elles, sont assez laides et bougent beaucoup (pour filtrer les vibrations du twin, elles sont montées sur silent-blocs). Photo : Simon Palatchi
Le passager est bien plus choyé sur la Kawasaki que sur la Yamaha avec ces larges poignées et une selle un peu plus agréable. Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
Silencieux court là aussi, avec une sonorité plus grave et présente, mais moins flatteuse. Photo : Simon Palatchi
Photo : Emilien Braud.
Photo : Emilien Braud.
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Le bicylindre en V de 1 304 cm3 est agréable à l'usage, mais aux antipodes des canons du genre. Rageur, (course-courte), avec une allonge agréable et un refroidissement liquide. Photo : Emilien Braud.
Le passager occasionnel n'est pas à la fête : assise courte et penchée vers l'arrière, pas de poignées (une sangle...) et des repose-pieds hauts qui imposent une position grotesque, genoux dans les dents. Photo : Emilien Braud.
L'assise très basse permet d'enfourcher facilement le XVS 1300 Custom. Photo : Emilien Braud.
Sous cet angle, la jante avant est superbe. Photo : Emilien Braud.
Les deux échappements étouffent un peu le 1300. Photo : Emilien Braud.
Notez la présence d'une protection pour ne pas se cramer la botte sur l'échappement. Photo : Emilien Braud.
Le klaxon (devant le pied droit) est très exposé. Photo : Emilien Braud.
Photo : Emilien Braud.
Le cache pignon de sortie de boîte, très travaillé esthétiquement, fait un peu toc. En plastique brut, il dénote à côté de la finition du reste du bloc-moteur... Photo : Emilien Braud.
Photo : Emilien Braud.
L'immense disque de 320 mm de diamètre semble perdu au cœur de la roue de 21 pouces ! L'étrier à deux pistons juxtaposés est, lui, un peu léger pour les 306 kilos de la bête. Photo : Emilien Braud.
La courroie possède une couronne magnifique. A l'usage, on oublie la transmission. Photo : Emilien Braud.
Les clignotants possèdent une finition noir laqué (Piano Black), du plus bel effet. Sur le modèle américain, Stryker, ils sont chromés. Photo : Emilien Braud.
Les échappements ont une sortie vraiment ridicule, ce qui explique la castration sonore du twin. Photo : Emilien Braud.
Photo : Emilien Braud.
Photo : Emilien Braud.
Photo : Emilien Braud.
Photo : Emilien Braud.
Ce petit feu à diodes longiligne semble emprunté aux YZF-R1 de 2002/2003. Photo : Emilien Braud.
La selle façon cuir tanné est magnifique et confortable. Photo : Emilien Braud.
Le tableau de bord est simple, mais en fait très complet. La fenêtre numérique donne accès aux trips, au totalisateur kilométrique, à la consommation moyenne, à l'heure et même à une jauge à essence. Seul manque à l'appel un compte-tours, dont on peut se passer. Photo : Emilien Braud.
Le commodo droit permet de faire défiler les infos du tableau de bord. Photo : Emilien Braud.
A gauche, du classique : appel de phare et commande de phare, clignotants et klaxon. Photo : Emilien Braud.
Cette clé en provenance directe des années 80 est indigne d'un gros custom de 2014 ! Pourquoi le XVS 1300 Custom ne dispose-t-il pas d'une clef codée, quand une XJ6 en est équipée ? Photo : Emilien Braud.
Comme sur les autres customs de la marque, le bouchon de réservoir n'est pas sur charnière. Photo : Emilien Braud.
Sous la selle, pas de place, mais une trousse à outils complète. Photo : Emilien Braud.
Photo : Simon Palatchi
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Les rétroviseurs intègrent deux petites LED à leurs extrémités, à la fois feux de position et feux de gabarit pour les autres usagers. Bien vu ! Photo : Simon Palatchi
L'éclairage à LED est réellement surpuissant. Photo : Simon Palatchi
Le phare rappelle à la fois les première VFR 800 FI (arête entre les deux optiques) et la VFR 1200 (phare en X), avec un soupçon d'agressivité italienne. Photo : Simon Palatchi
La jante avant est superbe, avec des bâtons qui se croisent. L'un part vers la gauche, l'autre vers la droite... Sublime ! Photo : Simon Palatchi
La jante avant est superbe, avec des bâtons qui se croisent. L'un part vers la gauche, l'autre vers la droite... Sublime ! Photo : Simon Palatchi
Le freinage fait toujours confiance à l'ABS, mais plus au CBS. Les étriers passent à la fication radiale. Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
VFR : une signature chez les sport-GT depuis 1985 ! Photo : Simon Palatchi
VFR : une signature chez les sport-GT depuis 1985 ! Photo : Simon Palatchi
Le tableau de bord est complet et parfaitement lisible, avec ce contraste inversé pour l'affichage digital (clair sur fond sombre). En revanche, il faut tendre le bras pour piloter l'affichage des infos ! Photo : Simon Palatchi
Les demi-guidons reprennent la couleur bronze des jantes et des carters moteur. Notez les réglages de la fourche, accessibles. Photo : Simon Palatchi
Le commodo droit est chargé, avec la commande de désactivation de l'antipatinage TCS (au dessus) et le réglage des poignées chauffantes (à gauche). Sinon c'est le désormais classique commodo Honda. Photo : Simon Palatchi
A droite on retrouve le coupe-contact, le démarreur et les warning (qui peuvent fonctionner contact coupé, pratique). Photo : Simon Palatchi
La finition des échappements, désormais vernis sur les parties visibles de tube, est bluffante. Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
Cette pièce offre une finition de fonderie étonnante, beaucoup plus brute que les autres éléments de cadre... Bizarre. Photo : Simon Palatchi
Le bocal de liquide de freiin arrière est assez exposé sur le flanc droit. Photo : Simon Palatchi
Cette prise d'air façon Naca rappellera des souvenirs aux utilisateurs des VFR RC 24, RC 36 et RC 36 II. Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
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L'échappement chromé est sobre. Les mélomanes le vireront sûrement, mais il émet une sonorité flatteuse dès que le Vtec se met en marche. Photo : Simon Palatchi
La jante arrière dévoilée par le monobras est superbe. Dommage que la nouvelle situation du silencieux la masque en partie. Photo : Simon Palatchi
Photo : Simon Palatchi
La serrure de selle est située sous le feu. Elle libère la selle passager qui révèle un espace suffisant pour de menues affaires. Photo : Simon Palatchi
Les larges poignées permettent aux passager de se tenir fermement. Elles sont idéalement disposées. Notez le pré-équipement pour les valises. Photo : Simon Palatchi
Le réglage de la précharge de suspension arrière est confié à une molette cachée hélas par le support de valise, derrière le cale-pied passager. Photo : Simon Palatchi
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Les carénages évoluent peu en 2014, mais le phare est désormais un peu plus « habillé ». Photo : BL
Les arêtes tranchées offrent un style dynamique à la SR, agréable à regarder. Photo : BL
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Le phare de MT-03 pourrait être remplacé par un élément ayant une identité propre... Et pourquoi pas des LED, c'est tendance et ça consomme moins. Photo : BL
Un R, du rouge... Pas de doute, c'est un modèle sportif ! Photo : BL
La fourche passe de 38 à 43 mm, un diamètre enfin digne du statut de moto puissante et performante. Photo : BL
La fourche passe de 38 à 43 mm, un diamètre enfin digne du statut de moto puissante et performante. Photo : BL
Le frein avant Nissin est convenable. Au tarif de la Zero SR, un double disque aurait été le minimum et des étriers radiaux auraient été un must. Photo : BL
Fast Ace est toujours le fabricant des suspensions, convenables mais loin d'être irréprochables. Photo : BL
La fourche est réglable en compression et en détente. Elle reste très sensible aux petites trépidations (plaques d'égouts, raccords, etc.). Photo : BL
Enfin ! Le nouveau tableau de bord est habillé et bien fini ! Ça change... Photo : BL
Le compteur est inédit et archi-complet : autonomie, deux trips, vitesse, régime moteur, jauge de batterie, heure, compteur de puissance et de récupération d’énergie, kilométrage total, température extérieure, température batteries et moteur, modes moteur (Eco, Sport et Custom). Génial ! Photo : BL
Le compteur est inédit et archi-complet : autonomie, deux trips, vitesse, régime moteur, jauge de batterie, heure, compteur de puissance et de récupération d’énergie, kilométrage total, température extérieure, température batteries et moteur, modes moteur (Eco, Sport et Custom). Génial ! Photo : BL
Le compteur est inédit et archi-complet : autonomie, deux trips, vitesse, régime moteur, jauge de batterie, heure, compteur de puissance et de récupération d’énergie, kilométrage total, température extérieure, température batteries et moteur, modes moteur (Eco, Sport et Custom). Génial ! Photo : BL
Une prise 12V est disponible en option, et vient se greffer à droite du compteur. Photo : BL
Les commodos ont été revus, mais le gauche évolue peu. Notez les poignées, toujours aussi basiques... Ce n'est pas un VTT que diable ! Photo : BL
Le commodo gauche intègre désormais le bouton mode, auparavant fixé à gauche du compteur. Pratique ! Photo : BL
Les rétroviseurs sont bien disposés mais très larges. Toutefois, on peut réduire la largeur totale en les faisant pivoter de 180° ! Pratique en ville ou en stationnement. Photo : BL
L'habillage des batteries évolue avec une prise d'air qui canalise l'air frais vers le moteur. Photo : BL
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Le moteur est bien petit et bien planqué ! 67 chevaux et 14,7 mkg de couple sont pourtant présents. Photo : BL
La pédale de frein arrière, élégante, offre une course quasi-nulle sur notre modèle d'essai. Problématique... Photo : BL
Le frein arrière J-Juan remplace bien mal le Nissin précédent. Il est tout aussi mauvais... Photo : BL
Le bras oscillant est superbe. Photo : BL
Cette grande couronne entraîne la courroie, semblable au modèle S normal, moins coupleux. Quid de sa durée de vie ? Photo : BL
La suspension arrière ne change pas. Convenable, elle est réglable en tous sens. Photo : BL
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La béquille offre une très belle finition. Pourquoi toutes les pièces de la Zero ne sont-elles pas ainsi finies ? Photo : BL
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L'arrière effilé apporte une réelle sportivité à ce roadster. Photo : BL
Deux poignées discrètes sont situées sous la coque à l'attention du passager. Délicat ! Photo : BL
La selle est confortable et ergonomique. Le passager n'est pas trop mal loti. Photo : BL
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Made in America ! C'est marqué dessus. Le plastique, teinté dans la masse, est sensible aux micro-rayures. Photo : BL
Ces clignotants font basiques... De plus, on les voit un peu partout sur d'autres modèles... A ce tarif, on aimerait un peu d'exclusivité ! Photo : BL
Le feu est le seul élément utilisant des LED. Photo : BL
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La Zero SR conserve le très pratique « coffre ». Photo : BL
La Zero SR conserve le très pratique « coffre ». Photo : BL
La Zero SR conserve le très pratique « coffre ». Notez le petit filet sur l'intérieur du couvercle. Photo : BL
Le coffre est amovible. Photo : BL
Le coffre est amovible. Photo : BL
Le coffre est amovible. Notez les scratch au fond pour maintenir le coffre, absents sur la génération précédente. Photo : BL
La prise de charge est discrètement située sur le côté gauche. Photo : BL
La prise de charge est discrètement située sur le côté gauche. Photo : BL
La prise de charge est discrètement située sur le côté gauche. Photo : BL
Pour les geeks, la Zero peut se paramétrer depuis un smartphone. Une fois toutes les données paramétrées à sa guise (vitesse maximale atteignable, puissance de recharge, couple maximal...), il suffit de choisir le mode Custom au tableau de bord. Photo : BL
Le tableau de bord indique par un voyant Bluetooth, en bas à gauche, que moto et téléphone sont connectés. Photo : BL
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Le train avant assure l'essentiel. Fourche et frein auraient toutefois pu être plus efficaces. Photo : BL
Le train avant assure l'essentiel. Fourche et frein auraient toutefois pu être plus efficaces. Photo : BL
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La fourche MCM remplace avantageusement l'élément Paioli, point critique du Malaguti. Photo : BL
Le frein AJP est puissant mais manque de feeling. Qui plus est, un disque et deux pistons c'est un peu léger pour stopper les 170 kilos de la bête une fois lancé... Photo : BL
Les prises d'air, ici en noir et parées du kit sticker optionnel, sont toutes factices mais contribuent à l'agressivité et l'identité latine du Cityline. Photo : BL
Les prises d'air, ici en noir et parées du kit sticker optionnel, sont toutes factices mais contribuent à l'agressivité et l'identité latine du Cityline. Photo : BL
Les prises d'air, ici en noir et parées du kit sticker optionnel, sont toutes factices mais contribuent à l'agressivité et l'identité latine du Cityline. Photo : BL
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En feux de croisement, les deux optiques sont allumées. Photo : BL
En feux de route, les deux optiques restent allumées, avec à la clef un bon faisceau lumineux. Photo : BL
Les deux optiques en amande confèrent une certaine élégance au Cityline. Photo : BL
Les marchepieds sont vastes et permettent diverses positions de conduite. Même les plus grands sont à l'aise. Photo : BL
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Le frein arrière est aussi performant que l'avant. Photo : BL
Les amortisseurs Paioli sont secs sur les petites imperfections de chaussée. Mais ils étaient réglés au plus dur... Photo : BL
Ces feux massifs sont assez...peu élégants. Après, les goûts et les couleurs... Photo : BL
Le passager, bien assis, dispose de deux larges poignées bien disposées. Photo : BL
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La selle est très confortable et présente bien, avec les deux matériaux et les surpiqûres rouges. Photo : BL
Le moteur provient de chez Piaggio. La béquille centrale est très facile à manipuler. Photo : BL
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La trappe à essence fait cheap, notamment au niveau du système de fermeture. Photo : BL
La grande boîte à gants ferme à clef, pas le petit compartiment de droite. Photo : BL
Une prise 12V est située dans la boîte à gants. Photo : BL
Le petit compartiment est assez profond, mais étroit. Gare à ne rien laisser au fond ! Photo : BL
Le commodo droit commande le démarreur et l'allumage des phares manuel. Photo : BL
Une gâchette située derrière permet de faire défiler les infos du tableau de bord. Les leviers de frein ne sont pas réglables. Photo : BL
A gauche, du classique : clignotants (pas de warnings), klaxon et plein phare/appel de phares. Photo : BL
L'antivol de direction intégré est une option. Photo : BL
L'antivol de direction intégré est une option. Photo : BL
L'antivol de direction intégré est une option. Photo : BL
L'antivol de direction intégré est une option. Photo : BL
La selle ne se déverrouille pas au contacteur mais sur le flanc gauche. Photo : BL
Seule la partie avant bascule, dévoilant un coffre torturé et pas si spacieux. Pas de vérin pour maintenir la selle ouverte, mais une trousse à outils complète. Photo : BL
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Les compteurs au look vieillot sont toutefois parfaitement lisibles. Photo : BL
La fenêtre digitale comporte de nombreuses informations : vitesse, vitesse maximale atteinte, un trip, totalisateur kilométrique, voltmètre, compte-tours, temps de parcours (lap), comsommation moyenne (en km/l), température extérieure. Photo : BL
La bulle protège très bien des éléments, sans occasionner de remous d'air. La finition des plastiques est déplorable... Photo : BL
La bulle protège très bien des éléments, sans occasionner de remous d'air. Photo : BL
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Double disque, ABS. Du sérieux. Photo : BL.
Les écopes de la XJ6 ont été légèrement revues en 2012, pour prolonger sa carrière. Photo : BL.
Ces câbles auraient mérité une gaine. Mais c'est plus cher ! Photo : BL.
L'échappement est discret et offre une belle sonorité rageuse. En revanche, mieux vaut ne pas regarder la finition... Photo : BL.
Le frein arrière est assez puissant. Photo : BL.
Le quatre-cylindres en ligne est plaisant, à la fois souple et suffisamment rageur. Photo : BL.
L'amortisseur se règle en précharge et offre un confort de bon aloi. Photo : BL.
La finition de l'échappement n'est pas optimale. Un point dont la Zero n'a cure ! Photo : BL.
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La fourche télescopique n'est pas réglable. Cependant, elle n'est pas mal réglée et offre un comportement routier sans faille. Photo : BL.
Le commodo gauche intègre les warnings, en plus des fonctions usuelles. Photo : BL.
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Le levier de frein esr réglable en écartement sur la XJ6. Photo : BL.
Le tableau de bord est vu et revu. Il est un peu pauvre en informations, mais parfaitement lisible. Photo : BL.
Les poignées passager sont pratiques quoiqu'un peu petites. Photo : BL.
La chaîne est une solution éprouvée. Pourtant, c'est plus bruyant et salissant que la courroie de l'Américaine ! Photo : BL.
La selle se déverrouille sur le côté gauche. Photo : BL.
Sous la selle, une trousse à outil et de quoi loger un antivol en U. Pas mal... Photo : BL.
La selle est confortable, permettant de rouler longtemps sans souffrir. Photo : BL.
Le réservoir, élément essentiel pour faire le plein ! Le bouchon, commun à bien des modèles Yamaha, est sur charnière. Photo : BL.
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La partie arrière intègre deux poignées passager, hélas très petites. Photo : BL.
L'amortisseur est réglable dans tous les sens. En revanche, il n'atteint pas la qualité de l'élément Yamaha. Photo : BL.
La fourche inversée est entièrement réglable. Là encore, l'amortissement est finalement moins bon que sur la Yamaha. Photo : BL.
La fourche inversée est entièrement réglable. Là encore, l'amortissement est finalement moins bon que sur la Yamaha. Photo : BL.
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Le moteur électrique se fait tout discret. Pas de tuyaux, pas de fluides, pas de saleté ! Photo : BL.
Si les commodos sont désormais plus modernes, les poignées soutiennent mal la comparaison avec la Japonaise. Photo : BL.
Le bouton mode permet de faire défiler les nombreuses informations du tableau de bord. Pas de démarreur, ON et c'est parti ! Photo : BL.
Le levier de frein n'est pas réglable sur la Zero SR. Photo : BL.
Le nouveau tableau de bord est très lisible et archi-complet. On y trouve toutes les informations liées à la moto. Photo : BL.
Le frein arrière n'est pas de grande qualité. Pédale dure, course quasi-inexistante... Dommage ! Photo : BL.
La courroie offre un grand silence de fonctionnement, sans graisse. QUi plus est, elle dure longtemps et n'est pas chère... Photo : BL.
Oh une Yamaha ! Raté ! Photo : BL.
Le coffre est assez vaste et très pratique. S'il peut s'enlever, il ne verrouille pas et n'est pas étanche... Photo : BL.
La recharge se fait sur le côté gauche du cadre. Photo : BL.
Le frein avant fait appel à un simple disque pincé par un étrier Nissin deux pistons. insuffisant vu le standing de la moto et ses accélérations. Photo : BL.
La selle ne peut s'enlever. Elle est en revanche confortable, tant pour le conducteur que le passager, malgré des mousses moins épaisses que celles de la XJ6. Photo : BL.
Photo : Benoît Lafontaine
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Le six-cylindres à plat issu de la Goldwing offre force et douceur : une main de fer dans un gant de velours... Photo : Benoît Lafontaine
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Le garde-boue arrière en plastique assez souple descend bas (bien pour la pluie), mais fait toc. Photo : Benoît Lafontaine
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Les radiateurs sont proéminents sur les côtés. Le pilote y gagne en protection des jambes. Photo : Benoît Lafontaine
La fourche est classique mais offre un amortissement satisfaisant. Photo : Benoît Lafontaine
Le frein avant offre un mordant satisfaisant, une bonne puissance et l'ABS. Photo : Benoît Lafontaine
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La face avant est large et musclée. Un vrai molosse aux épaules larges ! Photo : Benoît Lafontaine
Comme les récentes VFR 800 et CTX 1300, la F6C se dote d'un éclairage full-LED. Photo : Benoît Lafontaine
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Le cache latéral droit dissimule un coffre qui ferme à clef. Photo : Benoît Lafontaine
Le cache latéral droit dissimule un coffre qui ferme à clef. Photo : Benoît Lafontaine
Le cache latéral droit dissimule un coffre qui ferme à clef. Photo : Benoît Lafontaine
Le cache latéral droit dissimule un coffre qui ferme à clef. Photo : Benoît Lafontaine
Le tableau de bord numérique est lisible mais sommaire : vitesse, compte-tours, heure, totalisateur, deux trips et une jauge à essence. Photo : Benoît Lafontaine
Le commodo droit incorpore les warnings. Photo : Benoît Lafontaine
A gauche, du classique. L'appel de phare au pouce est moins pratique qu'une gâchette à l'index. Photo : Benoît Lafontaine
La F6C intègre un accroche-casque. Qui s'en sert de nos jours ? Photo : Benoît Lafontaine
La serrure de la trappe à essence est reportée sur le flanc gauche. Pas pratique du tout... Photo : Benoît Lafontaine
Le bouchon n'est pas sur charnière mais il est attaché et dispose d'un support. La finition fait cheap... Photo : Benoît Lafontaine
Le bouchon n'est pas sur charnière mais il est attaché et dispose d'un support. La finition fait cheap... Photo : Benoît Lafontaine
Le feu à LED est superbement intégré au bas du garde-boue arrière. Photo : Benoît Lafontaine
Le frein arrière au diamètre impressionnant est ventilé. Photo : Benoît Lafontaine
Les échappements intègrent trois sorties chacun, pour rappeler les six cylindres présents devant ! Photo : Benoît Lafontaine
Symétrique mais ballot : le silencieux gauche masque la jante révélée par le monobras... Photo : Benoît Lafontaine
La jante arrière est superbe est bien visible sous cet angle. Photo : Benoît Lafontaine
La F6C est la seule qui propose des poignées pour le passager. En revanche, la selle est la plus inclinée vers l'arrière des trois... Photo : Benoît Lafontaine
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La selle creusée offre une assise confortable. Le passager n'est pas mal loti mais il n'a rien d'autre qu'une sangle pour s'accrocher. Photo : Benoît Lafontaine
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Le bicylindre en V de 1 783 cm3 s'avère plus rageur qu'on ne pourrait le croire. Plus un moteur de dragster que de custom placide ! Photo : Benoît Lafontaine
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La fourche inversée ne jurerait pas sur un roadster sportif. Mais il s'agit bien d'un custom ! Photo : Benoît Lafontaine
Le freinage radial impressionne mais s'avère peu mordant à l'usage. Mais, sans ABS, il vaut peut-être mieux... Photo : Benoît Lafontaine
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Le compteur en deux parties distinctes n'est pas un modèle de lecture... Photo : Benoît Lafontaine
En bas, on retrouve le compteur de vitesse (pas pratique en roulant), et les fenêtres digitales (heure et jauge à essence à gauche, totalisateur et deux trips à droite). Photo : Benoît Lafontaine
En haut, on retrouve un compte-tours digital (notez la zone rouge à 7 500 tr/mn, la plus élevée de nos trois motos) et un pratique indicateur de rapport engagé. Photo : Benoît Lafontaine
Les commodos sont en aluminium ! Celui de droite intègre les habituelles fonctions coupe-contact et démarreur. Photo : Benoît Lafontaine
Les commodos sont en aluminium ! Celui de gauche gère les phares (appel de phares à l'index), le klaxon, les clignotants et les warnings. Photo : Benoît Lafontaine
Les eux échappements superposés émettent un son grave et puissant, caractéristique des bicylindres en V mais rageur dans les tours. Photo : Benoît Lafontaine
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Le feu à LED offre un aspect particulier au postérieur de la M1800R. Photo : Benoît Lafontaine
Le bouchon de réservoir n'est pas sur charnière. Navrant... Photo : Benoît Lafontaine
Les pontets du guidon sont deux superbes pièces qui illustrent la belle finition de l'Intruder. Photo : Benoît Lafontaine
Le contacteur situé à gauche sous la selle est un gimmick typiquement custom et absolument pas pratique ! Photo : Benoît Lafontaine
Le cardan de la Suzuki est dégagé par l'absence d'échappement devant. Photo : Benoît Lafontaine
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Le trois-cylindres en ligne est monumental. Et quel souffle ! Photo : Benoît Lafontaine
La fourche inversée encaisse bien les 367 kilos sur les bosses et procure un comportement routier satisfaisant à la Rocket III Roadster. N'allez toutefois pas la prendre pour une sportive... Photo : Benoît Lafontaine
Le freinage n'est pas impressionnant mais il offre un mordant stupéfiant. L'ABS est de série. Photo : Benoît Lafontaine
Le radiateur déborde légèrement... Photo : Benoît Lafontaine
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La Triumph est la seule dotée de deux amortisseurs latéraux, qui font un boulot sérieux. Ils sont réglables en précharge. Photo : Benoît Lafontaine
La finition de la Rocket III est sans reproche. Photo : Benoît Lafontaine
La pédale de frein de la Triumph est la seule qui soit garnie de caoutchouc. Délicate attention... Photo : Benoît Lafontaine
Les pots sont maousses ! Et bruyants, très bruyants. Le son prend aux tripes et fait vibrer tout le quartier, ce qui finit par lasser (et rendre sourd). Photo : Benoît Lafontaine
Finition superbe pour les jantes de ce poids lourd. Photo : Benoît Lafontaine
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Le tableau de bord de la Rocket III est le plus classique et le plus complet : vitesse, compte-tours, heure, jauge à essence, autonomie restante, indicateur de rapport engagé, deux trips et totalisateur. Photo : Benoît Lafontaine
Le commodo gauche intègre les fonctions classiques. La Triumph ne dispose pas des warnings. Photo : Benoît Lafontaine
Le commodo droit intègre les fonctions classiques. La Triumph ne dispose pas des warnings. Photo : Benoît Lafontaine
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la finition est parfaite. Toutefois, les nombreux chromes chargent parfois inutilement le style, comme cet enjoliveur de garde-boue avant. Un peu kitch... Photo : Benoît Lafontaine
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Le bouchon de réservoir est sur charnière. Youpi ! Photo : Benoît Lafontaine
Le passager est confortablement assis mais ne dispose que d'une sangle pour se tenir à la catapulte. Un peu léger... Photo : Benoît Lafontaine
Pas de LED pour la Rocket III, mais deux optiques au vitrage en verre (si, si !), pour faire les gros yeux à la concurrence. Photo : Benoît Lafontaine
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Le phare, cerné de LED, confère une agressivité de bon aloi à la CBR 650 F. Photo : Benoît Lafontaine
Le carénage suggère l'agressivité, sans le côté radical de la CBR 600 RR. Photo : Benoît Lafontaine
Léger ce train avant ? Détrompez-vous, il assure plutôt bien, en freinage comme en suspension ! Photo : Benoît Lafontaine
Le carénage masque désormais le superbe collecteur quatre-en-un qui part sur la droite. Dommage... Photo : Benoît Lafontaine
Seulement 87 chevaux pour ce quatre-cylindres, mais une belle santé et un caractère enjoué ! Photo : Benoît Lafontaine
Le frein arrière déçoit un peu. On l'aurait souhaité un poil plus performant et mordant, même si il assure l'essentiel. Photo : Benoît Lafontaine
Les platines de repose-pieds conducteur sont à l'image de la moto, bien finies. Les fonderies sont superbes. Photo : Benoît Lafontaine
L'enjoliveur d'échappement c'est beau. La sortie de silencieux de mobylette, c'est moins beau... Photo : Benoît Lafontaine
La selle confortable, pour le conducteur comme pour le passager. Photo : Benoît Lafontaine
L'anti-démarrage HISS est évidemment de série. Les demi-guidons sont peu cintrés, gage d'une position de conduite détendue. Photo : Benoît Lafontaine
Le commodo droit correspond aux standards Honda. Photo : Benoît Lafontaine
Le levier de frein est réglable en écartement. Photo : Benoît Lafontaine
Le commodo gauche est le désormais habituel commodo inversé Honda. On finit par s'y faire à la longue... Le levier d'embrayage n'est pas réglable en écartement. Photo : Benoît Lafontaine
Les poignées passager sont bien intégrées à la ligne de la CBR. Elles sont un peu proches du carénage... Photo : Benoît Lafontaine
Ce feu est un classique chez Honda désormais... MSX 125, triplette de CB 500 F/R/X et CB/CBR 650 F ! Photo : Benoît Lafontaine
Honda a doté la CBR 650 F de pratiques tétons métalliques, associés à deux sangles planquées sous la selle, pour arrimer tout son barda pour les grands départs. Pratique ! Photo : Benoît Lafontaine
La selle (complexe à déboîter), cache la batterie et suffisamment d'espace pour loger un petit U ou un bloque disque. Photo : Benoît Lafontaine
L'amortisseur est réglable en précharge uniquement, via une bague crantée. Photo : Benoît Lafontaine
Le réservoir de 17 litres peut autoriser jusqu'à 350 kilomètres d'autonomie si vous êtes doux ! Photo : Benoît Lafontaine
Le compte-tours numérique est plus lisible qu'il n'y paraît de prime abord. Photo : Benoît Lafontaine
Le compteur, repris du roadster CB 650 F, est assez complet : vitesse, heure, deux trips, jauge à essence, consommation moyenne et instantanée. Manque toutefois un indicateur de rapport engagé qui serait bien pratique pour les pilotes en herbe. Photo : Benoît Lafontaine
Les repose-pieds passagers sont bien disposés, pas trop hauts. Notez les arceaux pour y accrocher des sangles le cas échéant. Photo : Benoît Lafontaine
Le bras oscillant est une merveille pour une moto de cette catégorie ! Magnifique... Photo : Benoît Lafontaine
Photo : Benoît Lafontaine
La selle est perchée 10 mm plus haut que la précédente génération, mais enfourcher la CBR 650 F reste aisé. Photo : Benoît Lafontaine
L'ABS est livré en série. Photo : Benoît Lafontaine
Photo : Benoît Lafontaine
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Photo : Benoît Lafontaine
Photo : Benoît Lafontaine
Photo : Benoît Lafontaine
Le frein avant est suffisant, même s'il n'y a qu'un disque pincé par un étrier deux pistons. Photo : Benoît Lafontaine
Les marchepieds sont confortables et bien placés. Ils sont montés sur charnières pour pouvoir frotter. Photo : Benoît Lafontaine
Le frein à main, obligatoire sur un véhicule automatique (on ne peut pas le mettre en prise !) se fait discret sur le flanc gauche. Photo : Benoît Lafontaine
Ces pièces en aluminium brossé sur les flancs sont splendides. Photo : Benoît Lafontaine
Photo : Benoît Lafontaine
Comme tous les NC, le NM4 Vultus voit sa boîte DCT accouplée à une chaîne. Photo : Benoît Lafontaine
Heu ? Un traducteur siouplait ! Photo : Benoît Lafontaine
Photo : Benoît Lafontaine
L'éclairage est entièrement confié à des LED, pour ajouter au côté futuriste de l'engin. Le trou entre la coqe et la bavette laisse passer toutes les projections sous la pluie... Photo : Benoît Lafontaine
La pédale de frein est aussi montée sur charnière et peut se relever. Photo : Benoît Lafontaine
Le moteur est invisible, encapsulé dans le plastique. C'est le bicylindre parallèle de 750 cm3 qui officie pour les NC 750 S et X, ainsi que l'Integra 750. Photo : Benoît Lafontaine
Le silencieux est la seule note de chrome sur ce custom ! Photo : Benoît Lafontaine
Comme les autres DCT, le Vultus dispose de deux étriers arrière. Celui-ci est celui du frein de parking. Photo : Benoît Lafontaine
Photo : Benoît Lafontaine
La selle creusée est confortable pour le conducteur. Le passager, en revanche est moins bien loti, avec une selle courte et inclinée en arrière. Et pas de poignées à l'horizon... Photo : Benoît Lafontaine
Pratique, la selle passager sert de dosseret pour le conducteur solitaire ! Photo : Benoît Lafontaine
Réglable sur trois positions, la selle passager bouge avec la clef de contact (sur la gauche). Photo : Benoît Lafontaine
Les rétroviseurs sont bien placés mais un peu petits. Les coques de rétroviseurs de notre modèle d'essai étaient assez mal fixées. Problème de finition isolé ou pas ? Photo : Benoît Lafontaine
La bulle courte ne protège pas grand-chose. C'est plus un élément de style... Photo : Benoît Lafontaine
Photo : Benoît Lafontaine
Le phare reprend le système full-LED vu sur le F6C. C'est beau et très performant la nuit ! Photo : Benoît Lafontaine
Le compteur complet (jauge à essence, compteur, compte-tours, deux trips, heure, autonomie, consommation moyenne et instantanée, totalisateur kilométrique et indicateur de rapport engagé) s'illumine en blanc au point mort... Photo : Benoît Lafontaine
... en bleu en mode automatique D (Drive)... Photo : Benoît Lafontaine
... en pourpre en mode automatique S (Sport)... Photo : Benoît Lafontaine
... et en rouge en mode manuel MT. Mais vous pouvez choisir parmi 26 coloris ! Photo : Benoît Lafontaine
Le bac de gauche ferme à clef, mais est assez petit. Il cache une prise 12V. Photo : Benoît Lafontaine
Le bac de droite est beaucoup plus vaste mais il ne verrouille pas. Photo : Benoît Lafontaine
Photo : Benoît Lafontaine
Le commodo gauche est commun à tous les modèles DCT, avec ses commandes de transmission manuelle (rapport inférieur en bas, rapport supérieur à la gâchette arrière). Photo : Benoît Lafontaine
Le commodo droit dispose de la commande de boîte (point mort, modes automatiques et manuel). Photo : Benoît Lafontaine
Le bouchon de réservoir troue sa place devant le conducteur, sur un plan très incliné ! Photo : Benoît Lafontaine
Le poste de conduite. Le guidon fait assez cheap... Photo : Benoît Lafontaine
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
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Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
On retrouve sur la Crosstourer les commodos désormais communs à une grosse partie de la gamme Honda dotée du DCT, avec les boutons de commande de la boîte. Photo : Emilien Braud
On retrouve sur la Crosstourer les commodos désormais communs à une grosse partie de la gamme Honda dotée du DCT, avec les boutons de commande de la boîte. Photo : Emilien Braud
L'antipatinage est, comme sur la Yam' et la Suz', déconnectable. En revanche, un seul mode : On ou Off. Photo : Emilien Braud
Pas de prise 12V, pas de commandes du tableau de bord au guidon. Un poil chiche la Honda ? Photo : Emilien Braud
Le tableau de bord est complet mais le compte-tours par barres graphes n'est pas super lisible. Photo : Emilien Braud
Comme la Super Ténéré, la Honda rassure avec un train avant bien guidé et un freinage efficace. Photo : Emilien Braud
Le V4 ne se laisse pas admirer. Seule la boîte DCT dépasse des carénages ! Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
e monobras dégage la superbe roue à rayons. C'est vraiment beau ! Photo : Emilien Braud
La valise droite est plus tarabiscotée, pour cause de silencieux derrière. En revanche, les formes géométriques des casiers sont un atout pour y loger des objets. Photo : Emilien Braud
La finition de cette bagagerie est moyenne, avec un plastique façon aluminium pas très heureux. Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Le top-case accueille sans problème un casque, mais pas deux. Photo : Emilien Braud
Cardan. Pratique, fiable, propre et insensible à la conduite... Bref, nickel. Photo : Emilien Braud
Cela fait vraiment bizarre de ne pas avoir de sélecteur... Photo : Emilien Braud
L'éclairage de la Honda est performant, sans plus. Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Les commandes au guidon gèrent les cartographies moteur et l'anti-patinage. Pour les infos, il faut tendre le bras. Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Malgré un tarif plancher, la V-Strom soigne ses occupants avec, entre autres, une prise 12V. Photo : Emilien Braud
Très complet, le compteur est parfaitement lisible. En revanche, le compte-tours analogique pourra être considéré comme vieillot par certains. Photo : Emilien Braud
Ce bec de canard a fait couler de l'encre depuis 1988 et le DR 750 ! Photo : Emilien Braud
L'éclairage de la Suzuki vaut celui de la Honda, avec un faisceau un peu plus large cependant. Photo : Emilien Braud
Le train avant de la Suzuki ne dépareillerait pas une sportive ! Matez les freins ! Pour autant, la différence est minime avec ses rivales du jour... Photo : Emilien Braud
Le bicylindre en V offre un bon agrément et une souplesse à tous les niveaux. Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Les valises sont assez vastes, mais peu pratiques à cause de formes étranges. La droite perd en contenance à cause de l'échappement. Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Belle contenance pour le top-case, mais finition assez médiocre. Bon point pour la sangle de maintien du capot en revanche. Photo : Emilien Braud
La Suzuki fait l'impasse sur le cardan. Les voyageurs au long cours pesteront plus d'une fois sur cette chaîne qu'il faut graisser et retendre... Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
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Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Fouillis ? Un peu, mais pratique et complet ! Photo : Emilien Braud
Le tableau de bord typé offroad a fière allure. Notez la prise 12V en bonne place. Photo : Emilien Braud
Très complet le tableau de bord de la Yamaha (infos des suspensions, deux trips, totalisateur, jauge à essence, rapport engagé, température moteur, température extérieure et autonomie) ! Et parfaitement lisible qui plus est... Photo : Emilien Braud
Le réglage de la bulle en hauteur impose de dévisser deux écrous et de manœuvrer la bulle à deux mains. Photo : Emilien Braud
Le réglage de la bulle en hauteur impose de dévisser deux écrous et de manœuvrer la bulle à deux mains. Photo : Emilien Braud
Le train avant de la Yamaha est parfaitement guidé et les freins assurent. Photo : Emilien Braud
Encasulé, le bicylindre ne laisse voir que ses carters. Il grogne un peu mais affiche une belle santé ! Photo : Emilien Braud
Le cardan, c'est propre et discret. Un régal à l'usage ! Photo : Emilien Braud
Pas super pratiques les valises, avec leur ouverture étroite ! En revanche, rien ne tombe à l'ouverture (dans la boue par exemple). Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud
Le haut des tubes accueille les éléments de la suspension électronique. Photo : Emilien Braud
Le double optique de la XT ZE est très efficace la nuit. Bon faisceau, large et puissant. Photo : Emilien Braud
Photo : Emilien Braud